1. Post coïtum, animal triste


    Datte: 20/09/2024, Catégories: 2couples, hplusag, fplusag, inconnu, sauna, Oral préservati, pénétratio, fsodo, échange, libercoup, Auteur: Celle Hymen, Source: Revebebe

    ... Jo et la vue de celles que son mari prodiguait généreusement à Francine. Quand Francine commença à remercier Cyrille par quelques gémissements, Bénédicte releva le défi et se mit à gémir elle aussi, un peu moins discrètement que la maîtresse de son mari, comme pour montrer qu’elle assumait une pleine et entière adhésion à ce qui était en train de se passer.
    
    Quand il ne put plus résister, Cyrille s’allongea sur Francine et, tout naturellement, sa queue trouva très facilement l’entrée, trempée, de la chatte, et s’y engouffra, pour y rester d’abord quelques secondes immobile, puis commencer à s’y mouvoir avec beaucoup de délicatesse, bien loin de l’invasion à la hussarde à laquelle Francine s’attendait. Elle plaça ses bras derrière la nuque de son amant du jour et releva ses jambes dans son dos, afin de l’encourager à aller au plus profond de son ventre. Profitant de l’engagement de la partie de « bête à deux dos » de leurs conjoints, Jo retourna Bénédicte pour la mettre sur le ventre, lui fit relever les fesses pour se mettre à quatre pattes et commença à frotter sa queue contre son sexe, tout en lui doigtant doucement l’anus d’un doigt recouvert de lubrifiant.
    
    Quand elle commença à feuler de plaisir, il détourna son dard de la destination qui s’ouvrait à lui et entreprit de sodomiser Bénédicte qui, surprise, l’eut-elle voulu, n’eut pas le loisir de protester. Sans doute la pénétration de son cul ne lui était-elle pas inconnue, mais surtout, Jo était expert en enculage ...
    ... et la douce Bénédicte n’eut d’autre réaction que de pousser des gémissements d’approbation. Quand Jo commença à émettre de grossières obscénités, elle ne rechigna pas longtemps avant de lui répondre sur le même ton. En entendant sa douce épouse proférer de tels mots, Cyrille marqua un temps d’arrêt dans sa cavalcade, mais Francine s’empressa de le ramener à la raison en lui éperonnant les fesses de ses talons, tout en l’encourageant de vive voix, avec des mots similaires à ceux que prononçaient leurs conjoints adultères.
    
    Les choses suivirent leur cours, Bénédicte gémissant et criant, les deux hommes ahanant jusqu’au plaisir, signalé par un rugissement, curieusement simultané…
    
    Mais, malgré la douceur des caresses de Cyrille et la délicatesse des mouvements de son sexe en elle, Francine restait, au fond d’elle-même, indifférente, parce qu’elle ne pouvait s’empêcher de penser à celui qui lui manquait, Léo, son amant, son amant de cœur et de corps. Dès qu’il la regarde, elle mouille, quand il la caresse, elle fond et quand il la baise, sa chatte déverse de la lave brûlante sur le siège de sa voiture. Quand il la baise, Francine ne crie pas, elle braille, elle hurle, elle le supplie, en même temps, d’arrêter et de continuer, d’accélérer, ses mouvements dans son ventre, encore plus fort. Quand il la baise, ses orgasmes sont énormes, multiples, alors qu’avec son mari ou un autre homme, ils sont moins nombreux et de moindre qualité.
    
    Alors, pour ne pas « perdre sa journée », ...