Un Jeu Qui Tourne Mal
Datte: 19/09/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bydicordoba, Source: Literotica
... passer, que le gros routier était en train de souiller son jeune corps. C'était à la fois écœurant de l'imaginer en elle mais sans m'en rendre compte, je trouvais aussi cette idée excitante et je m'étais mis à me caresser.
Quand je regardais pour la vingtième fois ma montre, je me rendis compte que cela faisait déjà vingt minutes que Julie était avec le gros, que cela faisait déjà vingt minutes qu'elle devait se faire baiser par ce porc et pourtant je ne bougeais pas, pire, j'avais commencé a me branler.
C'et alors, que du camion garé juste a coté, un autre routier apparut et qu'il vint frapper a la porte de celui ou se trouvait ma femme. L'homme était beaucoup plus jeune et était plus athlétique. Je me dis que le gros n'allait sûrement pas lui ouvrir vu qu'il était en train de baiser ma femme et je pensais avoir raison car la porte resta fermée.
Le routier frappa une deuxième fois beaucoup plus fort, montrant de la sorte son impatience.
Cette fois mon sang se glaça. La porte du camion s'ouvrit et le gros apparut entièrement nu.
Je crus qu'il allait envoyer balader le jeune mais au contraire il parut content de sa visite et lui serra la main.
Horrifié et sans pour savoir pourquoi excité aussi, je vis le gros disparaître dans la cabine alors que le jeune grimpait a son tour. Ils allaient s'occuper a deux de ma femme, lui faire des choses que jamais je ne lui avait fait et je restais pourtant sans rien faire.
Elle s'était habillée en pute et ces hommes ...
... allaient la traiter comme telle.
Ma femme était un petit gabarit et ils allaient sûrement la détruire, la prendre comme jamais elle ne l'avait été.
Ils allaient sûrement la prendre par le cul, chose qu'elle m'avait toujours refusé et peut être même la prendre pas les deux trous.
Ces pensées malsaines me faisaient bander et de savoir ma petite femme entre leurs mains m'excitait comme jamais. Je ne pouvais pourtant pas la laisser ainsi, je l'aimais et de savoir que deux routiers étaient en train de la baiser, devait me faire réagir.
Et pourtant, je ne bougeais pas, essayant d'imaginer ce qu'ils lui faisaient subir.
J'imaginais son superbe corps nu, tripoté dans tous les coins, ses seins malaxés par les grosses mains des routiers.
J'imaginais sa chatte, prise par les deux hommes, son cul, élargit comme jamais.
Je les imaginais la remplir de sperme, la forcer à les sucer alors, et elle, obéissante, qui se pliait a tout leurs désirs et qui les laissait tout lui faire sans rien dire.
Une demi heure devait s'être écoulée depuis que le deuxième routier était rentré dans la cabine lorsque la porte s'ouvrit de nouveau.
Le gros en descendit. Il avait mis un pantalon mais resté torse nu. Il alluma une cigarette alors que le plus jeune était resté dans la cabine, pour continuer sûrement avec ma femme.
Ma femme qui était devenue leur pute, leur vide couille et cela ne me révoltait plus, trouvant cette image de plus en plus excitante.
L'homme prit son temps pour ...