Chien en Devenir Trois
Datte: 19/09/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bySium38, Source: Literotica
... déjeuner, s'occuper de Toby. Elle remontait dans la chambre et ouvrait le dressing pour se choisir une tenue, sans se préoccuper de moi!
Je la voyais se maquiller, se coiffer, prendre son temps. Elle finit par sortir une de mes chemises et un pantalon et les fourra dans un sac, avec d'autres vêtements. Je tirais sur la laisse pour marquer mon impatience : je devais prendre une douche pour nettoyer mon corps meurtri du week end, me raser. Bref reprendre une allure présentable!
Elle finit par m'entrainer en bas. Je descendais douloureusement les marches à 4 pattes tiré par la laisse.
J'étais dépité, je ne voyais pas d'amélioration de mon traitement.
Il fallait que ça s'arrête, ces conneries!
On m'attendait au boulot, j'avais de grosses responsabilité!
Mais elle me tirait sans ménagement par la laisse et me fit sortir pour monter dans la voiture, dans le coffre.
Je paniquais complètement quand je vis par les vitres qu'elle prenait le chemin de mon travail.
J'étais nu quasiment dans le coffre, équipé d'un collier, du bâillon et des sachets autour de mes mains ankylosées!
Elle se gara dans le parking souterrain qui desservait mon entreprise, laissa le moteur en marche en me détacha mon collier, mon bâillon et tout mon harnachement.
Ouf la punition s'arrêtait donc là!
Je n'osais la regarder. Je me mis assis dans le coffre et frottais mes poignets et mon cou rougis des frottements du week end.
'Voila tes affaires, tu t'habilles rapidement, ...
... tu rentreras en bus ce soir, voila l'argent nécessaire'
'Merci' je ne voyais pas quoi reprendre d'autre. J'ouvrais le sac de mes affaires pour m'habiller rapidement à la vue du moindre passant.
Je ne trouvais en guise de sous vêtement qu'une culotte de ma femme en dentelle. Je la regardais incrédule.
'Dépêches toi Rex' Je dois partir j'ai d'autres chiens qui m'attendent' (rappel : ma femme travaille dans un cabinet vétérinaire)
J'enfilais la culotte, puis le reste de mes affaires. Je n'osais imaginer mon visage encore marqué par le bâillon, des traces de bave séchée devaient être visibles.
Elle démarra aussitôt et me laissa là, désemparé mais satisfait aussi de reprendre ma vie d'homme, enfin!
En entrant dans l'entreprise, j'essayais de me faire discret et rejoins aussitôt les toilettes pour trouver une glace et me nettoyer.
Je vérifiais que les stries des coups de ceinturon ne saignaient pas à travers ma chemise blanche. J'avais les yeux rouges, le teint blafard, la barbe naissante.
Ma chemise était toute froissée.
J'ajustais ma cravate autour de mon cou douloureux, vérifiais que la culotte ne laissait pas de traces suspectes.
Je rejoignais mon bureau, les collègues me regardaient d'un drôle d'air en voyant ma barbe de deux jours, ma peau marquée, mon pantalon fripé.
J'étais mal à l'aise avec cette culotte sous mon pantalon. Est-ce qu'elle pouvait se voir?
Une fois assis à mon bureau, je soufflai comme pour oublier mon week end, mon ...