COLLECTION HISTOIRE COURTE. Enterrement de vie de jeune
Datte: 18/09/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
• Pour ton enterrement de vie de jeune fille Claudia, je m’occupe de tout.
Servi sur un plateau, samedi prochain, je viens te chercher, je te bande les yeux et en route pour l’aventure d’une dernière soirée entre célibataires.
• C’est sympa Linda, je te fais confiance.
À un détail près, je connais ta roublardise, surtout pas de sexe.
Depuis que j’ai connu Dimitri, je lui suis fidèle.
• Tu oublies, un détail Dimitri, tu me l’as piqué.
Baiser derrière mon dos avec lui c’était loin d’être la chose la plus sympa quand l’on se dit amie.
• Tu m’avais dit que tu allais le larguer comme tu le faisais régulièrement avec tous les autres.
À ce jour la salope, c’est toi.
• « J’allais chérie » !
J’allais, le larguer, mais j’étais loin d’en être sûr à cent pour cent.
J’aurais bien aimé encore faire une ou deux parties de jambes en l’air avec lui, faire quelques parties de trou du cul, j’aurais aimé.
• Comment parles-tu, on dirait une vraie charretière ?
À part ce détail je suis d’accord.
Les jours passent, comme elle me l’a dit, elle vient me chercher avec sa voiture.
C’est en toute innocence que je la suis, ça reste mon amie de toujours.
À notre naissance, même clinique, même box de travail voisin simplement séparé par un rideau.
Même chambre voisine et même promenade pendant deux jours dans les bras de nos mamans.
À ce que m’a dit ma maman, elles ont été libérées à la même heure et même minute.
Des jumelles sans l’être.
Même ...
... les pères ont coupé les cordons à l’unisson.
Notre deuxième rencontre quelques jours plus tard c’est dans le parc de notre commune s’est fait, nos mères se sont retrouvées en poussant leurs landos.
Jusqu’à nos premiers pas faits, il me semble dans la même période.
Contrairement à des jumelles, nous vivions dans les deux bouts de notre petit bourg.
À la maternel, on s’est retrouvées suivant les mêmes classes jusqu’à notre puberté qui nous a rattrapés chacune de notre côté.
Bien sûr, nous étions au collège à cette période.
Lycée, nous nous croisions dans les couloirs, elle en droit, moi en environnement et j’ai souvent vu Linda papillonné auprès des garçons.
C’est là que notre amitié a fait l’élastique comme dit une chanson « À cause des garçons ».
Ce qui me faisait le plus mal, c’est que notre complicité s’espaçait.
Un jour j’ai vu et j’ai compris, elle était la maîtresse de mon père.
C’est dans son atelier de peinture qu’ils se retrouvaient.
Il faisait des nus et c’est là que je les ai vus.
Elle le rejoignait dans la campagne quand papa reproduisait des paysages, là encore avec des filles à poils.
Papa aimait notre rivière et c’était son lieu favori où il y passait des heures.
Quand j’ai découvert leur liaison, je comprends pourquoi il avait de longues heures de retard avant le dîner.
Les choses s’étant tassé, elle était déjà dans les bras d’un autre.
Elle m’a expliqué qu’il lui avait demandé d’être son modèle et de faire des ...