1. Les malheurs de Clotilde Ch. 14


    Datte: 17/09/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... en appétit par tout ce que ses deux copains lui ont donné à voir, se montre aussi brutal que le précédent, mais plus rapide. Il faut préciser, que le cul qu'elle lui montre involontairement, bien malgré elle, est d'un érotisme fou. Il a une cambrure, une masse joliment séparé en deux par un profond sillon, une chair d'un tel éclat, qu'un eunuque en aurait bandé rien qu'à le contempler. Hélas pour elle, l'amateur n'est pas impuissant, ni, il le prouve, incontinent.
    
    Pleurant, sanglotant, Ninon se laisse violer par cette troisième bite. Le désir lubrique le possède à tel point, qu'il prend la femelle comme un lapin. Puis, au bout de quelques minutes d'une défonce sauvage, il se retire et tourne sa victime de côté, la contraignant à prendre la position du fœtus, il fait saillir exagérément le postérieur et la motte de la salope. Puis pressé, il s'emboîte littéralement en elle. Avec une vigueur définitive, qui fait crier de douleur Ninon, il propulse au fond de la gaine, lubrifiée par son camarade, son trop dur et trop long mandrin.
    
    Cette fois encore Ninon a très mal, ses hurlements, son visage déformé par la douleur, le prouvent. Une douleur en provenance de son vagin, comme elle commence à en avoir l'habitude depuis son enlèvement. Cependant, la position qu'il a fait adopter, à sa partenaire contrainte, est une de celle qui permet la pénétration la plus profonde d'une bite dans un vagin. La belle prof, à de nouveau, mais en plus aigu, l'impression horrible, d'être enfilée ...
    ... jusque au entrailles par un épieu rougit.
    
    Naturellement, sous les sensations que son viol lui donne, elle hurle de plus en plus fort. Sans que cela ne ralentisse son agression. À chaque fois, pour faire plus de mal, son bourreau retire presque entièrement, sa queue, de la gaine qu'il déchire. Qui fait emplie de sperme qu'elle est, des bruits de clapotis puis de succions, fort agréables à l'oreille des violeurs. Il s'enfonce alors, d'un seul coup, tout du long, jusque à ce que son dur pubis rencontre, heurtant avec violence, les grandes lèvres épanouies et distendues.
    
    Les hurlements que leurs putain poussent, réjouissent les oreilles des quatre ravisseurs. Trois d'entre eux s'amusent, riant, devant le spectacle de la belle prof violée, tandis que celui qui la couvre, cramponné à sa magnifique chair pulpeuse, la laboure à tout-va, rendu littéralement fou par l'étroitesse et la douceur du fourreau qu'il pourfend, mais surtout pressé de vider ses bourses dans ce corps si accueillant.
    
    En gardant ce rythme, l'augmentant d'ailleurs encore, il n'est pas long à éjaculer en elle. Cambré contre les fesses qu'il écrase à la façon d'un marteau-pilon, il se secoue, pris de frénésie, ébranlant la jeune femme jusque au tréfonds. Puis son sperme gicle, Ninon est si irritée, qu'elle le reçoit comme un choc. Elle aurait été consentante, la prof aurait eut le plus puissant des orgasmes, mais là, la semence la brûle atrocement, la faisant gueuler comme jamais jusque alors. Et dieu sait ...
«12...4567»