la librairie (2) - Histoires de Sexe

la librairie (2)

Si vos lèvres articulent ces mots étranges, votre regard qui plonge vers mon entrejambe signifie le contraire. Ignorant votre remarque je m’approche de vous, vous attrape par les hanches et vous colle contre mon sexe, devenu dur comme un bâton à la suite de ces échanges érotiques. Je vous entraine dans un coin de la pièce, à l’abri des regards indiscrets, et vous chuchote à l’oreille.

— Je sais que tu mens. Tu m’as l’air d’être une véritable petite salope et je suis certain que ton string est trempé, à l’heure qu’il est. Sens mon sexe comme il est gonflé d’envie et de désir. Je suis sûr que tu n’as qu’une envie, c’est de l’enfoncer au fond de ta gorge de petite pute ! Je me trompe ?



Vous feignez l’outrage en tentant de vous dégager mais vous êtes coincée entre l’étagère et moi. Vos seins sont comprimés l’un contre l’autre et veulent s’échapper de leur carcan de tissu blanc.

— Je ne vous permets pas de me parler sur ce ton. Monsieur, laissez-moi sortir.

Je me dégage alors et vous laisse le passage.

— Pas de souci, mademoiselle, je vous laisse le passage, allez-y, je vous libère. Pardonnez mon audace, je ne voulais pas vous importuner.

Cela vous prend au dépourvu. Vous ne vous attendiez pas à une telle réaction de ma part, et si vous êtes soulagée du respect de votre consentement, une petite part de vous est comme qui dirait… déçue. Vous restez sur place, interdite, le regard toujours fixé sur la bosse de mon short.

— Bah alors, qu’est-ce qui vous ...

... arrive ? Je croyais que vous vouliez sortir ? Finalement, j’ai bien l’impression que j’ai quelque chose qui vous intéresse…

— Je… non…je… je vais sortir, merci.

Je vous attrape par le poignet.

— Attendez une seconde. Je vous propose un petit jeu. Je suis certain que je vous plais mais que vous refusez de l’admettre.

— Absolument pas, vous…

— Nous verrons bien, je suis certains que vous êtes très excitée, je vais vérifier, et si vous êtes trempée, j’ai gagné, et vous me faites une pipe. Sinon, je vous fous la paix et je vous offre un bouquin en dédommagement pour ma conduite. Qu’en pensez-vous ?

— J’en pense que vous êtes un gros pervers.

— Je suis certain que tu en meurs d’envie, regardes, tu te mords la lèvre.

Tu es trempée et tu le sais, tu te demandes comment tu vas t’en sortir. Ton regard se pose sur le mien, dur, sévère et attirant à la fois. Un frisson te parcourt l’échine jusqu’au creux du sexe. Tu ne peux t’empêcher de croiser les jambes et de plier légèrement les genoux.

— Assez joué maintenant, retourne-toi et pose les mains sur l’étagère.

Tu t’exécutes docilement.

— C’est bien. Écarte les cuisses et cambre-toi. Je vais vérifier si j’ai gagné mon pari.

Tu écartes les cuisses. Je passe une main à l’intérieur de ton genou et je sens la cyprine qui a coulé le long de ta cuisse. J’avais raison, tu es trempée !

— Je crois bien que j’ai gagné mon pari ! dis-je triomphant.

— Non.. vous ..rie. ..ri..er

Je n’ai pas entendu ce que tu ...