1. Ma colocataire me prend en main


    Datte: 16/09/2024, Catégories: h, fh, jeunes, hsoumis, fdomine, humilié(e), contrainte, Masturbation init, initiatiq, dominatio, Auteur: Victor Ward, Source: Revebebe

    ... juste pimenter un peu ta branlette.
    — Oui, mais bon, là, ça va un peu loin.
    — Quoi, tu n’as pas aimé ce qu’on a fait ? Si je te dérange, je te laisse te finir devant ton porno. C’est ça que tu veux ?
    — Non, non, bien sûr.
    — Dis-moi, qu’est-ce que tu veux ?
    — Je voudrais jouir !
    — Oui, tu vas jouir, allez, tourne-toi, montre-moi comme tu bandes et comme tu as envie de jouir. Tu voudrais jouir où ?
    — Je voudrais jouir sur tes seins !
    — Oui, petit cochon, viens sur mes seins.
    
    J’étais à nouveau couché sur le dos, les jambes un peu écartées et la bite aussi droite que dure. Elle caressa avec douceur mes couilles tout en se penchant vers moi, approchant ses seins de mon sexe. De sa main libre, elle frotta son sein gauche sur mon gland. C’en était trop, les sensations, la vue de cette scène et ses paroles eurent raison de ma résistance et je jouis. Un épais jet de sperme s’écrasa sur son sein avant que le reste de ma jouissance ne dégouline entre eux.
    
    — Ah, t’es vraiment un cochon, tu m’en as mis partout. Ça faisait longtemps que tu n’avais pas joui, petit branleur. Elle disait cela alors qu’elle avait encore mes testicules dans sa main et que je faisais quelques derniers va-et-vient sur ma hampe encore dure.
    — J’aime voir mes seins avec ton foutre, ça m’excite, dit-elle. Et toi, ça te plaît ?
    — Oui, j’adore.
    — Allez, tu as été bien ce soir, viens les lécher pour te récompenser.
    
    Avant que j’aie le temps de réaliser quoi que ce soit, elle se pencha au-dessus ...
    ... de moi, amenant sa poitrine devant mon visage. J’étais pris entre l’excitation de toucher et lécher pour la première fois une si belle paire de seins et le dégoût que m’inspirait mon propre sperme. Elle ne me laissa pas tergiverser dans ce paradoxe et vint écraser ses seins sur mon visage. Je sentis alors le liquide visqueux se coller sur mes joues.
    
    — Lèche-les, je sais que tu en as envie.
    
    Face à mon absence de réaction, elle serra un peu mes couilles qu’elle avait toujours en main et répéta :
    
    — Lèche-les !
    
    Ce rappel du pouvoir qu’elle avait sur moi me fit abandonner toute résistance et j’ouvris la bouche pour lécher son mamelon.
    
    — C’est bon, continue.
    
    Avec une main derrière ma tête, elle me guidait vers les traces de mon sperme et m’obligeait à les lécher.
    
    — Tu aimes mes seins ? Ils sont bons ?
    — Oui, je les aime, ils sont chauds.
    — Et tu aimes ton foutre ?
    
    Je ne répondis pas, mais en moi-même je dus avouer que ce n’était pas aussi mauvais que je le pensais. Le fait qu’elle m’oblige à y goûter m’excitait même un peu.
    
    Quand elle s’estima assez propre, elle relâcha ma tête et me laissa m’éloigner. Elle était tout sourire, toute fière du coup qu’elle venait de me jouer. Elle avait certes largement contribué à mon plaisir, mais pas comme je le pensais. Tout s’était passé comme elle l’avait souhaité et je n’avais été qu’un pantin avec lequel elle avait joué.
    
    — Il faut que je te laisse, je sors ce soir, il faut que je me douche avec toutes tes ...