Dominant Wife 01
Datte: 14/09/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byomrouge, Source: Literotica
... Plus que le goût acre et ammoniacal, c'est la consistance gluante qui me révulsa. Chaque fois que je rentrais la langue dans ma bouche, une partie de ma lapée retombai et il me fallut longtemps pour parvenir à la nettoyer. Je sentais, à ses mouvements,qu'elle se caressait pendant que je la nettoyais servilement. Le seul aspect agréable fut quand je dus lécher ses seins dont les tétons érigés et les aréoles crispées étaient la preuve de sa propre excitation. J'avais le cœur au bord des lèvres quand je ne sentis plus cette saveur grasse sur sa peau et c'est alors que j'entendis le profond soupir et la crispation de tout le corps qu'elle avait quand elle jouissait .
Je me retenais pour ne pas vomir tandis qu'elle reprenait son souffle après son orgasme.
C'était la première fois que j'ingérais du sperme et clairement, ça ne me plaisait pas du tout, mais en même temps, le fait d'être contraint de le faire par ma femme rendait la chose subtilement excitante.
À partir de ce jour, le comportement d'Hélène changea du tout au tout. Elle qui n'avait jamais paru intéressé plus que cela par mon désir de soumission sembla brusquement y trouver un plaisir nouveau et alors qu'avant, c'était toujours moi qui provoquais les séances D/S, elle me surprit en prenant de plus en plus souvent un comportement dominateur lors de nos relations sexuelles. Et je me retrouvais de plus en plus souvent allongé sur le lit pendant qu'elle s'empalait sur mon sexe. J'adorais cette position ou je ...
... voyais sa lourde poitrine se balancer au rythme de sa chevauchée. Un autre avantage était que j'avais plus de faciliter à me retenir dans ce rôle passif où je pouvais davantage me concentrer sur mon plaisir. Systématiquement, après que j'ai jouis en elle, elle se plaçait sur ma bouche pour que je la nettoie de ma semence. J'avais toujours horreur des globules épais qui me tombaient dans la bouche, mais je les avalais pourtant docilement avant de lécher dans son vagin et sur ses lèvres les dernières traces de notre plaisir mutuel.
Au fur et à mesure qu'elle prenait confiance en elle, et en son pouvoir sur moi, elle devint plus audacieuse et moins respectueuse de mes propres sensations. Elle abandonna son obsession de la douche et n'hésitât plus à me faire sentir l'odeur musquée et aigrelette de sa chatte en fin de journée et à me faire goûter la saveur salée de sa sueur.
Elle avait même découvert un nouvelle manière de se faire jouir qui aurait été invraisemblable quelque temps auparavant, elle me faisait lui lécher l'anus pendant qu'elle se caressait et je passai de long moment enfouis dans l'odeur acre de sa raie des fesses. Quand elle approchait de l'orgasme, elle insistait pour que je rentre ma langue le plus profondément possible, parfois elle me demandait d'y insérer un doigt.
Bien que passant par moments des instants difficiles, j'étais ravi de la nouvelle tournure qu'avait pris notre sexualité, et je sentais qu'elle prenait elle-même de plus en plus de plaisir à me ...