Hypnose Mécanique 16 - Histoires de Sexe

Hypnose Mécanique 16

... quand mon gland se positionne à l'entrée de son sexe, contre sa vulve. Entre deux sanglots, elle murmure :

- Pitié... ne me violez pas... vous allez me déchirer... Vous... êtes... trop gros...

Je souris, l'emprise de la machine marche parfaitement, comme d'habitude.

- C'est une possibilité. Je vais faire des dégâts. Mais comment te dire... Je m'en moque!

Je ponctue ma phrase d'un puissant coup de reins, qui me propulse en avant, me faisant violemment pénétrer le corps de la belle Lili. La pute hurle comme une malade, elle cabre avant de retomber à quatre pattes. Je vois dans le miroir son splendide visage se déformer sous la douleur atroce qu'elle ressent. Un second coup de reins achève de me faire pénétrer en elle. Son hurlement est encore plus puissant. Elle a l'impression que je viens de la déchirer en deux. De ravager son sexe, de le découper de mon engin, de le faire exploser en plusieurs morceaux.

Tandis que la truie gueule, je savoure les sensations qui proviennent de mon pieu. Je sens les parois de son vagin pulser contre ma bite pour tenter de me faire sortir. La chienne est serrée, j'apprécie. Certes, ce n'est pas la fille la plus étroite du monde que je me fais, mais ça va. Sur l'échelle de toutes les femelles que j'ai baisée, ou plutôt violée, je lui donne la note de sept sur dix. C'est plutôt une bonne note, en sachant que je me fais pas mal de pucelle. Surtout qu'avec le nouveau groupe de « vierge jusque au mariage », c'est de plus en plus facile ...

... de trouver des vierges âgées d'au moins dix-huit ans.

Pourtant je suis immobile en elle, à l'entendre on dirait bien le contraire. Je vais donc lui faire ce plaisir. Lui donner ce qu'elle veut. Sans pitié, je me mets alors à bouger dans son corps de chienne. Enfin quand je dis bouger, c'est plutôt la défoncer qu'il faudrait dire. Même si j'apprécie de lui faire mal, ce n'est pas ce que je cherche dans un premier temps. Pour l'instant je suis concentré sur mon seul plaisir. Jouir dans son corps est mon objectif. On verra avec les coïts suivant pour plus de fun pour moi et de douleur pour elle.

Je la travaille quelques minutes, quand je sent mon plaisir monter, je le lui dis :

- Je vais jouir en toi!

- Pas dedans... pitié... pas dedans...

- Oups... trop tard.

Je me fige en elle et balance la purée. Quand j'ai finis, je reste en elle immobile. La belle sanglote.

- Pourquoi vous avez fais ça...

- Fais quoi?

- Me prendre de force... jouir en moi... Je ne veux pas être enceinte de vous...

- Ne t'en fais pas, tu ne le sera pas de moi. Tu l'es probablement de ton ex et de son frère.

Je rigole, à voir son visage, je comprend qu'elle n'a pas pensée à cette alternative. Que son cerveau l'a probablement occulté. Puis je me rappelle qu'elle prenais la pilule à ce moment, finalement, si elle tombe enceinte, ce sera de moi. Mais je ne le lui dis pas. Je me retire bandant encore.

- Retourne toi, je vais t'enculer. Si tu dis un mot, je te bats et je te fais ...