Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (18)
Datte: 18/07/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: tomy83, Source: Xstory
... petit clin d’œil et je suis dehors. Je téléphone à Clarisse, ma banquière qui est heureuse de me recevoir et de me revoir. J’y vais à pied, ce n’est pas loin et me garer à proximité me garantit une galère sans nom. J’arrive devant ma banque, une célèbre société de crédit marseillaise. Clarisse me voit à travers la vitre et vient m’accueillir.
— Salut, beau gosse. Il y a longtemps, trop longtemps. Viens par ici, on sera au calme.
Je la suis et ne détache pas mon regard de son déhanché. Pour ses soixante ans elle toujours attirante. C’est une petite bourgeoise coincée en apparence seulement. Elle fut l’une des premières à succomber à mon fouet. Puis le mariage, encore une qui a choisi le bon parti, le directeur régional de la banque. Elle me fait rentrer dans un bureau chichement décoré. Je m’assois, elle s’installe derrière son bureau.
— Alors, que me vaut cette agréable visite ?
— Je ne vais pas y aller par quatre chemins. Combien j’ai de placé chez vous. Lui dis-je en lui tendant Ma carte Gold.
— Voyons cela... Hum, hum, intéressant. Sur ton compte courant tu as 15 000 Euros. Pas mal. Allons voir ce que tu as de placé... Oh, oh... Tu es plus fourmi que cigale à ce que je vois. Tu as, à 1000 Euros prés, 390 000 Euros et des brouettes. Heureux ?
— Piouuuuu. J’ai bien fait de dire à ton mari de s’occuper de mes comptes ! ! ! La vache.
— Pendant que tu t’occupais de sa femme... Me ...
... dit-elle en me rendant ma carte.
— Bien, il faut que tu me débloques 100 000 Euros le plus vite possible.
— Maintenant si tu veux. Un chèque de banque, espèce ? Espèce cela peut prendre une semaine. Pour le chèque, il faut voir si mon époux est encore là.
— Le chèque m’ira très bien.
Elle appuie sur un interphone.
— Monsieur le Directeur est encore là ?
— Oui, oui. Mais il ne va pas tarder.
— Dites-lui que je monte... Il va certainement rejoindre une de ses jeunes pouffes. Tu m’attends là mon chou ?
Elle sort du bureau comme une fusée. Elle disparaît pendant vingt longues minutes, quand elle revient elle est essoufflée et tient un parapheur. Elle me tend une enveloppe qui doit contenir le précieux sésame. Je me lève et l’embrasse. Elle rougit. J’ai toujours aimé son côté midinette. Ma main descend le long de sa jupe et remonte sur ses fesses nues, libres de tout sous-vêtement.
— Tu aimes toujours être nue sous tes fringues ?
— Oui, Maître.
— Bien, tu seras invité à l’ouverture.
— L’ouverture ?
— Chut... Tu verras.
Je l’embrasse à nouveau. Elle lève une jambe de plaisir. Je lui pince une fesse.
— Cochonne.
— Votre cochonne, Monsieur Jean.
Je me sauve en pensant qu’en tant que ma première soumise, elle mérite toujours autant.
Je repasse devant la boutique de Pierrot. Les volets métalliques sont fermés. Je marche d’un pas rapide et déterminé vers ma "BM".