1. Un samedi matin à Royan


    Datte: 12/09/2024, Catégories: f, ff, frousses, Collègues / Travail groscul, fépilée, plage, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme journal, lieuloisi, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... voulez que je vous aide ?
    — Ça devrait aller, merci.
    
    Elle ne se retira cependant pas.
    
    — Je suis certaine que cet ensemble va bien vous aller.
    — Vous croyez ? Le string me semble vraiment petit et j’ai de très grosses fesses.
    
    De l’autre côté du rideau, j’entendis Anna.
    
    — Tu as des grosses fesses, c’est sûr, mais très grosses… faut pas non plus exagérer.
    
    Chloé semblait embarrassée et j’accentuais son malaise en lui demandant :
    
    — Vous en pensez quoi, Chloé ?
    — Il vous va très bien, il est fait pour vous.
    
    Elle ne fit aucun commentaire sur le volume de mon postérieur, mais elle posa ses mains sur l’élastique du string pour le mettre bien en place. Elle s’attarda quelques secondes sur le haut de la raie qui séparait mes deux globes afin de bien y faire rentrer l’étroite bande de tissus. Je pivotais pour qu’elle ajuste le devant. Elle écarta légèrement le tissu, son regard trahissait son trouble devant mon pubis complètement lisse et, peut-être, avait-elle entrevu mon clitoris à demi gonflé. Le soutien-gorge m’allait parfaitement, emboîtant bien mes seins.
    
    — OK, je le prends.
    — On peut voir ?
    — Non, je garde la surprise.
    
    Chloé resta dans la cabine pour récupérer les trois pièces et aussi, possiblement, pour me voir de nouveau nue.
    
    Même avec la réduction promise, je trouvais la note un peu salée. Anna me pressa un peu.
    
    — Bon, on y va, si tu veux te baigner avant la foule. Et il faut que nous repassions à la maison pour prendre les paniers.
    — ...
    ... Vous allez sur quelle plage ? Demanda Marianne.
    — Je pense à la pointe espagnole, c’est la plus belle vue et il y a de quoi se mettre à l’ombre aussi.
    — Ils ont installé une sorte de petite paillote juste au pied des dunes. Un peu dommage, ça attire du monde, mais c’est resté quand même très sauvage. Et la plupart des visiteurs sont à poils. Elle ajouta :
    — À poil, pour vous ça va être dur de faire repousser en une heure. Si vous allez dans le coin de la paillote, je vous y rejoindrais peut-être pendant la fermeture, mais rien de sûr.
    
    Nous sommes reparties de bonne humeur. Dans la voiture, Anna me confirma qu’elle avait remarqué l’intérêt que me portait Chloé. Elle m’expliqua où se situait la plage par rapport à la côte et qu’il fallait marcher un bon moment dans le sable avant d’arriver sur la plage elle-même.
    
    Arrivées à la maison, les sacs étaient quasiment prêts, je rangeais mes dessous dans ma valise, près pour être portés.
    
    En sortant, nous sommes tombées nez à nez avec Paula qui descendait la route. Elle était accompagnée par la grande bringue qui était à table avec elle la veille au soir. Paula avait l’allure d’une bourgeoise en villégiature. Un tee-shirt avec les incontournables C entrelacés de Chanel en lettres noires sur fond blanc. Une jupe fendue qui laissait sortir une cuisse qui semblait parfaitement lisse et galbée. Des sandales spartiates avec des petites fleurs de marguerite sur les lanières. Je me sentais obèse et laide. Et, en plus, elle était ...
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