Les malheurs de Clotilde Ch. 08 - Histoires de Sexe

Les malheurs de Clotilde Ch. 08

... trouvé ses trous par exemple.

- Ils sont géniaux, cela se voit qu'elle débute, elle est vraiment étroite.

Greg lui tend sa carte.

- Si vous voulez la revoir, chez vous, chez moi, à l'hôtel ou ici, appelez-moi. Elle sera gratuite pour vous. Mais prenez rendez-vous au moins deux jours à l'avance, c'est plus sûr. Par contre faîtes-le savoir autour de vous qu'une pute canon tourne dans le coin. Elle est à cinquante euros de l'heure, tous ces orifices en open-bar.

- Je n'y manquerais pas.

L'homme se lève et part, après avoir encore remercier Greg et moi.

Greg m'annonce alors une bonne nouvelle.

- Meyer et Jérôme ne seront pas là ce soir. Ils ont des impératifs.

Je suis heureuse, je n'aurais à subir que Greg, au moins je n'aurais qu'un seul pénis pour me violer.

- Moi non plus je ne serais pas là, mais je te rassure tu ne dormiras pas seule, j'ai une surprise.

Je ne dis rien. Mais l'annonce de sa surprise m'effraie, cela n'annonce rien de bon pour moi. Finalement, on rentre chez Greg. Après que l'on est rentrés les paquets, il me fait de nouveau me doucher, mais cette fois, en plus, je dois me parfumer et me maquiller. J'opte pour du noir sous les yeux, et un rouge-à-lèvre d'un rouge vif. Puis je vais dans la chambre de Greg. Il m'a préparé mes habits. Il y a un petit string, un mini-short vraiment mini et un petit haut blanc transparent. Ainsi que des talons aiguilles. J'enfile le tout, j'ai vraiment l'air d'une prostituée au rabais habillée comme ...

... cela. Cette tenue, m'humilie vraiment, moi la petite bourgeoise. C'est une taille en dessous, on voit mon cul, les lèvres de mon sexe, apparaissent entre la petite entrejambe du short. Mes seins tendent à fond le tissus du haut, on voient parfaitement mes tétons percés et mes aréoles.

Vers dix-neuf heures l'on repart. Entre-temps, il m'a violée par devant, puis par derrière, avant d'exiger de moi une fellation qu'il mène jusqu'au bout. J'ai dus lui faire un strip-tease pour me dévêtir. Après ses viols, retour sous la douche et au maquillage.

On prend ma voiture. Quand on arrive, je reconnais l'endroit. Je me retourne effrayée.

- Mais...

- Ta gueule, si tu parles, tu seras punis. Je te ferais vraiment regretter tout tes viols passé.

Ce n'est pas une menace, c'est un fait. Alors je ne dis rien, je me retiens juste de pleurer. Ce n'est pas possible, il ne va pas m'obliger à ça...

Pourtant si, il le fait. On entre dans le petit immeuble que je ne connais que trop bien. On toque à une porte que je connais tout aussi bien. Je suis morte de honte, humiliée, horrifiée. Une voix d'homme résonne, puis la porte s'ouvre. L'homme me regarde ébahis.

- Clotilde?

Je n'ai pas la force de répondre. L'homme enchaîne.

- Merde, j'ai faillis ne pas te reconnaître habillée comme cela. C'est mieux.

Encore une fois je ne dis rien. Greg me glisse.

- Alors Clo, je sais bien que tu es une salpe et une putain, mais ce n'est pas une raison. Comme cela, on ne répond pas à son ...