1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1680)


    Datte: 10/09/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... horrible car elle me frappe sur mes fesses déjà meurtries et donc à la peau extrêmement sensible.... De fait, j’hurle de nouveau, je crie de douleur, je pleure comme un gosse en suppliant d’arrêter… Cinquante coups, cinquante coups sur ma peau fortement rougies, bleuies même et qui est complètement explosée ! Je suis anéanti par cette folle journée où j’étais tout simplement moi-même. Anéanti, mais heureux, oui heureux de vivre ce que je suis. J'ai sucé, j'ai été enculé, j'ai été nettoyé à la pisse, je pue le foutre, je suis plein de sperme séché et maintenant brisé par la violente douleur que m’inflige Madame Marie. Et pourtant je n’ai jamais été autant excité depuis que je vis tout cela, excité mentalement et physiquement, ma nouille est raide comme un I dressé pratiquement du matin au soir… Comprimé fortement dans sa cage ou à l’air libre, mes fortes érections sont figurantes… Quand elle s’arrête enfin, je pleure et je ne suis qu’une loque complètement brisée, je ne ressemble plus à rien, je n’ai plus aucune dignité et ça me rend tellement heureux de vivre cet état d’esclave, de chien… de n’être plus qu’un objet malléable qui doit apprendre à obéir à tout et qui, je le sais y arrivera très vite. Car j’en ai fortement besoin afin de m’épanouir dans ma servilité naturelle, dans ce qui fait ce que je suis, ce pourquoi je suis là…
    
    - Tu dois obéir … obéir … obeirrrrr !, me rabâche encore et encore la Cuisinière avec force… Tu sers et tu vie uniquement pour obéir. Est-ce ...
    ... clair, sale petite merde ?
    
    - Oui … Ma…Madame, je … je sers à obéir et …j’o … j’obéirai sans discuter.
    
    C'est en pleurant que je lui réponds. Madame Marie monte s’asseoir alors sur une confortable et haute chaise rembourrée et écarte ses largement cuisses face à mon visage. Cette chaise surélevée fait penser au siège utilisé par les arbitres de tennis, ce qui lui permet de placer son entrecuisse au niveau de mon visage car je suis toujours suspendu à la poulie
    
    - Vient me lécher, salope !
    
    Sans perdre une seconde, malgré la douleur extrêmement violente que je ressens, je plonge mon visage entre ses cuisses. Et c’est en sueur que je lèche sa chatte humide en m’appliquant du mieux que je peux. Ma langue titille son clitoris et je pénètre ensuite mon appendice buccal entre les lèvres intimes de cette chatte odorante, avec ma langue que je souhaite la plus baladeuse possible. Je constate encore une fois que malgré ma terrible douleur, je bande encore plus fort et que je ressens un bienfait inexplicable. Je m’applique à la tâche encore de longues minutes …Elle finit par plaquer ma tête contre sa chatte et m’étouffe presque quand elle se met à jouir en lâchant plusieurs jets de cyprines que j'avale sans hésiter, j’en ai aussi le visage trempé. Puis la Cuisinière me repousse la tête en la tirant en arrière par mes cheveux, et m’exige en criant :
    
    - Ouvre ta gueule, bâtard !
    
    Puis Madame Marie s’avachit un peu plus dans son haut siège et voilà qu'elle me pisse dessus, elle me ...
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