Renaissance de Catherine: partie 2. - Histoires de Sexe

Renaissance de Catherine: partie 2.

... être une sacrée à bien y réfléchir. Sa chienne soumise à tous ses fantasmes, je le suivrai au bout du monde je crois.

Je me retournais sur lui parce que je sentais que Claire s’empalait sur sa queue, mais cette fois-ci dans sa chatte. Je lui pinçais les seins en l’embrassant pendant que mon homme me bouffait la chatte en me sodomisant avec ses doigts. Il avait presque sa main dans mon anus, ce salaud!

Ce qui était fabuleux, c’est que autant Claire que moi, nous n’arrêtions pas de jour encore et encore. C’était un festival!

Claire, sachant Albert très porté sur l’anal- elle et moi aussi finalement par révélation, changea juste d’orifice pour continuer à s’empaler. Elle explosait de mouille sur lui de plus en plus et déjà son ventre était trempé ainsi que les draps. C’était un flot continu..elle jouit encore une fois et se dégagea.

Je profitais alors de sa queue encore bandante pour venir la sucer d’autant plus qu’elle n’avait pas été encore nettoyée.

Albert entrait de plus en plus de doigts dans ma chatte, je le sentais entrer sa main qui entrait petit à petit. Elle me possédait à présent totalement ce qui eut pour effet de faire fleuve de cyprine encore davantage que Claire tout à l’heure. Je sentais un gode entrer aussi dans mon cul.

Je n’arrivais plus à le sucer mais je le branlais ce salaud!

Je sentais sa main en moi qui me branlait en me défonçant comme jamais je le fus tout en étant enculée..c’était trop bon!

J’ai pris l’habitude alors que en tant ...

... qu’ancienne étudiante en médecine de parler cru et ferme. J’aime bien parler comme ça dans l’intimité et au moins c’est clair! Ça ne fait pas très féminin mais je m’en fous..

Première expérience du fist qui n’allait pas s’arrêter là. C’était en fait Claire qui me godait le petit trou qui avait vertu à se dilater…

Je ne vous raconte même pas les sommets de jouissance que j’ai atteint à ce moment là. Je me suis retrouvée à trembler sur le côté avec l’impossibilité d’avoir quelque chose en moi ou même avoir une caresse de plus sur ma peau. Même pas capable de participer à la super pipe de Claire sur mon homme…sans qu’il ne crache son jus sacré..

Avant de passer au jacuzzi, nu comme un ver, beau comme un Dieu avec sa grosse queue qui pendait entre ses cuisses et ses couilles à nouveau pleines, Albert voulait nous parler. Il commença par nous donner deux gros sacs chacune dans lesquels se trouvaient d’autres sacs de fringues et accessoires.

Claire sortit une petite robe noire très fine, très courte, avec un petit bustier tout en dentelle, très belle, très sexy classe, avec un string noir très fin appelé « larme » qui ne cachait que ses lèvres et une combinaison noire très moulante d’une créatrice new-yorkaise en dos nu à fines bretelles, des chaussures à talons noires lacées étaient tout aussi superbes. J’avais très exactement la même chose.

Après essayages immédiats, très franchement, je trouvais que nous étions canons, class, sexy et aucunement vulgaires.

Mais ...