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Face à face suite
Datte: 09/09/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Malong, Source: Hds
Une semaine s'était écoulées depuis cet extraordinaire face à face qui, je l'écris là, ne m'avait pas laissé indemne Je m'étais efforcé toute la semaine de ne contacter pas cette femme, Nathalie, mais je n'avais pu m'empêcher de me masturber toutes les nuits comme un ado en pensant à ce moment de partage sexuel. Le week-end s'engageait. Nous étions déjà vendredi début de soirée. Je me sentais comme un lion en cage. Je reconnaissais qu’une vraie obsession c'était insidieusement emparée de moi. Je me décidais alors à envoyer un texto à cette affolante Nathalie et bien entendu je n'arrivais pas à choisir les mots. J'optais pour un peu de vulgarité, des mots déplacés, un message en phase avec ce face à face de samedi passé. De toute façon qu'est-ce que j'avais à perdre. Au pire j'allais même y gagner un silence qui pouvait avec un peu de temps me rendre la paix. Message : " Cc, je n'arrête pas de penser à toi. Comment va ton joli mont de Venus. Est-ce que tu as glissé un doigt en pensant à moi affolante coquine “. Je regrettais aussitôt de l'avoir envoyé. Mais c'était trop tard. Je venais de me placer dans une position psychologique qui me faisait gamberger. C'était et surtout le peu d'information que je détenais pour tenir un raisonnement stable qui mettait dans cet état. Toute ma ‘barjoterie’ reposait sur le déroulement de la soirée passée chez elle samedi dernier. C'était peu. Du coup j'étais vivement partagé sur l'action que je venais de mener et cette ...
... introspection calma direct mon ardeur. A-t-elle point que je pensais même avoir définitivement refoulé ce phantasme. Je redevenais raisonnable à ce qu'était en réalité ma vie. Une vie sexuelle qui se résumait ces derniers temps à pas mal de branlettes. Au final une vie bien ordinaire vécue plus ou moins sagement en attendant de revoir Loulou par épisode. Il y avait en moi un manque et les vacances étaient encore loin dans le temps. Ce n'était pas la relation affective la plus sûr et confortable que j'avais entretenu dans ma vie. D'ailleurs à soixante ans je me trouvais bien joueur. Si physiquement je le pouvais, je savais que cette forme d'immaturité pouvait jouer des tours. À contrario, professionnellement je ne me permettais aucune fantaisie. Ça se déroulait bien. Matériellement je ne manquais de rien. C'est ainsi que ma vie était structurée. Ma vie privé et affective n'était certainement pas des plus classique mais je devais faire avec ce que j’avais. Une fois n'était pas coutume, j'allais chauffer un peu la belle des îles. Aussi je copiais-collais le message pour l'envoyer à Loulou. Un laps de temps s'écoulait avant que le son de notification de mon téléphone annonce l'arrivée d'un SMS. -" Le mont Vénus il va bien. Pas assez gravi à mon goût. :-) ". Suivait aussitôt, - " là je ne peux pas trop écrire. Promis je t'appelle" À quoi j'interrogeais, -" tu ne peux pas à cause du décalage horaire, le travail ? ". Réponse -" Décalage avec mon copain ...