Un petit coup de folie
Datte: 09/09/2024,
Catégories:
fhh,
couplus,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
dominatio,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... faire de toi ! Si on était au Moyen-Âge, tu aurais eu droit au pilori !
Amusé, Arnault intervient :
— C’est bien ce que j’ai dit tout à l’heure : au pilori !
— Bonne idée, mais je n’ai pas ça ici, Arnault.
Notre invité désigne le plafond et ses belles poutres apparentes :
— Regarde, tu as des crochets là-haut. Tu as bien une corde quelque part, non ?
Je lève le nez. En effet, notre plafond aux poutres en bois massif est garni de crochets divers, trace d’une ancienne époque révolue, puisque notre maison était antan une ferme. Je n’y fais plus attention depuis des années que nous vivons ici.
Jouant le jeu, je me lève :
— Oui, j’ai des cordes dans le garage…
— Prends-en une qui ne soit pas trop fine, ça peut blesser les poignets…
— Monsieur est grand connaisseur à ce que je vois…
Sans attendre sa réponse, je pars chercher une corde ou deux. Depuis une bonne minute, assez intriguée par la tournure des événements, Ambre ne dit rien, elle nous regarde nous agiter. Je reviens vite avec ce qu’il faut. Arnault me félicite :
— Bravo, tu as choisi le bon modèle, ni trop gros, ni trop fin. Toi aussi, tu es grand connaisseur !
Il s’empare de la corde comme s’il voulait sauter avec. Mais c’est le plafond qu’il vise. Au second essai, la corde se niche dans un gros crochet. J’applaudis :
— Tu as le coup de main ! Monsieur est vraiment grand connaisseur à ce que je vois !
— Bah, tu fais vite le tour de l’île de la Réunion, tu sais… Faut bien se ...
... divertir, car les programmes télé sont nuls, même par satellite.
Je ne demande pas plus de détails. Immobile et intriguée, ma femme nous regarde toujours faire. Arnault repousse les verres, les bols et les bouteilles sur le côté. Puis il s’adresse à Ambre :
— Si Madame la fautive daigne bien monter sur la table…
— Moi ? Monter sur la table ?
— Elle résistera sans souci à ton poids léger !
Amusée, ma femme se prête au jeu, elle se déchausse avant de monter sur la table basse. Aussitôt qu’elle est debout, Arnault lie ses poignets, puis il tire sur la corde, obligeant Ambre à lever les bras. Moi, je reste spectateur. La scène est singulière, mais plaisante. Je n’aurais jamais cru que ces crochets au plafond puissent être utilisés de la sorte, et surtout sur ma femme. Je dois manquer d’imagination !
Se perchant sur une chaise, Arnault fait une sorte de gros nœud. Puis il descend pour venir contempler ce qu’il a mis en place :
— Parfait ! Je suis fier de moi !
— On n’est jamais aussi bien servi que par soi-même, n’est-ce pas ?
— Je ne te le fais pas dire !
Perchée debout sur la table basse en bois massif, les bras d’Ambre sont à présent attachés par une corde au gros crochet rivé au-dessus de sa tête. De ce fait, ma femme est devenue très vulnérable. Tournant plusieurs fois autour d’elle, Arnault et moi contemplons la fautive en silence. L’ambiance est assez électrique…
Une lueur étrange dans les yeux, mains en l’air, poitrine bien en avant, elle nous questionne ...