1. COLLECTION SALOPE. La bourge et les poivrots (1/2)


    Datte: 08/09/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... quatre pecnos bien éméchés.
    
    • Les mecs, je vous aime bien, mais si vous sautez cette dame, même si c’est certainement une belle salope, vous allez vous mettre dans la merde encore plus que vous y êtes.
    
    Demain, elle va porter plainte pour justifier son absence à ce fumier de mari banquier et vous vous retrouvez avec des bracelets pour viol !
    
    À moins qu’elle nous dise qu’elle est consentante bien sûr.
    
    Je vais aller fermer la porte pour éviter qu’un connard nous emmerde et baisser les stores.
    
    Geneviève tu as trois secondes pour filer vers ta voiture.
    
    Si le baron appelle, je lui dirai que tu es devant mon café.
    
    Je viens de boire un verre de leurs vins et la main caressant ma chatte, a mis le feu à mes sens.
    
    Surtout, qu’un à un, ces paysans commencent à baisser leurs pantalons.
    
    • Sans embrasser, je veux bien essayer de vous satisfaire pour vous venger de mon mari, mais je refuse que vous m’embrassiez.
    
    Leur bouche, pour certains remplie de chicots et les autres la clope au bec, ça risque de me faire vomir et c’est pour rien d’autres que je m’entends prononcer ces mots.
    
    Le patron ferme le bar.
    
    • Vous voyez, c’est une pute, comme la grosse Léontine à Chanac, elle aussi elle refuse de se faire embrasser, seul son mac a le droit de le faire.
    
    Pourquoi me regardez-vous comme ça !
    
    Qui ici parmi nous lorsqu’il va à la foire chaque dernier mardi du mois, à un moment ou à un autre,va tirer un coup ?
    
    Nous y allons tous, elle n'embrasse pas, mais ...
    ... elle fait des choses que vos femmes refusent de faire même avec nous.
    
    Léontine, celle qui a déclenché ma boulimie de sexe il y a trois ans.
    
    J’étais une femme vertueuse dans ces temps-là, Chantal espérant me faire découvrir les plaisirs défendus de l’adultère comme elle le faisait elle-même.
    
    Je m’accrochais jusqu’au jour où justement un jour de foire, nous avons vu Gondrin sortir d’un hôtel.
    
    Il était suivi d’une grosse vache à qui il a parlé, c’est à ce moment que le ciel m’est tombé sur la tête.
    
    • Geneviève, tu vois cette femme, c’est une pute, ton mari vient de se faire une pute.
    
    Chantal venait de faire tomber du piédestal où je mettais mon mari et dans la semaine suivante, je me suis vengée avec un colonel de cavalerie qui m’a baisée à la hussarde.
    
    Ce colonel me tournait autour comme il le faisait avec chaque jupon.
    
    Nous avons baisé dans son salon, moi à quatre pattes sur son fauteuil, lui me tenant par ses hanches me pilonnant comme si j’avais été un cheval, son cheval.
    
    Je me souviens qu’il disait « hue, hue, hue » à chaque coup de bite qu’il me donnait.
    
    Dans la glace face à nous, je le voyais avec ses grandes moustaches recourber et laquer avec en prime un monocle coincé dans son œil gauche.
    
    Je me souviens, c’était comique, mais faire le cheval m’avait tellement plus que depuis les cornes de Gondrin, ont énormément poussé.
    
    Quatre bites de tout genre devant moi, non cinq, Lucien vient de sortir la sienne noueuse à souhait et me la met dans ...