Joyeux Noël !
Datte: 04/09/2024,
Catégories:
fh,
hh,
fhh,
couplus,
extracon,
cocus,
candaul,
inconnu,
boitenuit,
vengeance,
jalousie,
reconcil,
Oral
préservati,
pénétratio,
hgode,
hsodo,
échange,
confession,
bisex,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... mouvement de tête ne peut que confirmer. J’ai dit oui. Je suis fou.
Il entre. Je sens comme lorsque le plug écarte ma rondelle sauf qu’ici mon muscle ne se referme pas. Il étrangle ce qui me possède.
— Tu es étroit, c’est bon. Un petit cul de pucelle.
Pucelle ? Non, j’ai perdu ma virginité. Autant parce que le mandrin est en moi que parce que j’en apprécie la présence. Cela semble sans fin. Il est donc si long ? C’est donc cela de se faire posséder ? Cette impression de gonfler de l’intérieur ? C’est différent du plug, une consistance différente, à la foi dure et souple, une impression de chaleur, de plénitude.
J’ai toujours trouvé cette expression « la plénitude », et cette autre « se sentir pleine », utilisées pour une femme qui se fait prendre par un gros machin, comme un artifice de style. Mais j’avais tort. Il me remplit et sa main qui me branle donne l’impression que c’est son propre sexe qui me transperce et ressort.
Amélie me libère. J’ai sous les yeux la réalité de ma position. Me voici allongé, les jambes écartées par des mains puissantes, avec cet homme qui est tout contre moi, qui d’un mouvement de rein fait ressortir son engin, engin que je vois disparaître à nouveau dans mon petit trou. Me voici une femelle qu’un mâle puissant encule. Je devrais avoir honte d’accepter ça, je devrais, et d’ailleurs, j’ai honte, mais elle n’empêche pas le plaisir.
Amélie est venue prendre mon sexe dans sa bouche. Elle doit avoir sous les yeux la réalité de ma ...
... honte. Son mari m’encule. Oh, elle doit rire en silence. Je ne suis pas dupe, depuis qu’elle m’a invité chez elle, c’était avec ce plan. J’ai donc passé l’examen avec succès puisque le pilier de rugby m’enfile comme une salope.
J’ai honte mais c’est bon. Comment puis-je ressentir du plaisir alors qu’un bâton me laboure les reins. Me laboure, oui, car le pilier ne se retient plus. Cela doit faire des semaines qu’il attendait ce moment. Sa femme devait le tenir informé :Il aime de mieux en mieux. D’ailleurs, le plug entre facilement. Il a compris comment faire pour se décontracter. À moins qu’elle ait filmé ou qu’il était caché en mari prêt à céder sa femme pour pouvoir enculer l’amant.
Il me laboure. Je couine de ses avancées. Je pleure de ses départs. J’ai honte mais c’est si bon. Mon cul me brûle mais je le sens vivant, palpitant, bien différent qu’avec un plug.
— Je vais cracher dans ton cul. Rassure-toi, moi aussi je suis clean.
Cela ne m’était même pas venu à l’esprit tellement je suis dans mon plaisir, découvrant des sensations inconnues. C’est donc cela que les gays recherchent avec avidité. Cette impression. Moi en plus j’ai la gorge gourmande de cette garce d’Amélie qui me pompe.
Ça brûle. Sa bite fait un bruit de clapotis que j’aime lorsque c’est moi qui possède une femme. Mais ici c’est dans mon petit trou, mon cul, n’aie pas peur de le reconnaître !
Je jouis. Moi aussi je crache mon foutre dans cette gorge… Celle de la femme… Alors que son mari ...