1. Septembre – Réunion de rentrée


    Datte: 04/09/2024, Catégories: fhh, couplus, Masturbation 69, jouet, journal, couplea3, Auteur: Camille.R, Source: Revebebe

    ... instants les mains s’emparer des bites à travers les sous-vêtements.
    
    Maintenant qu’ils n’ont plus que leurs caleçons, les caresses leur font plus d’effet. Le plaisir se lit sur leurs visages. Touche finale, je finis par les libérer complètement, l’un puis l’autre. Les bites sont aussitôt prises en main, branlées sans retenue. Tel un sculpteur, je prends un peu de recul pour contempler mon œuvre. Mentalement, je débats sur son titre : « zèles symé-triques » ou « Serrons-nous la pine » ? Toujours est-il que je suis fière de ma sculpture hybride et animée d’un mystérieux mécanisme qui fait se mouvoir les mains souples et agiles sur des tiges assez dures pour qu’on les croie de pierre. Mais je ne suis pas une contemplative. Sans les interrompre, je leur lance :
    
    — Je reviens dans une minute, ne soyez pas sages, les garçons.
    
    Je commence par un bref passage aux toilettes, puis un détour par la chambre, pour revenir dans le salon, munie de mon vibromasseur. Disons plutôt « godemiché », car j’ai l’intention de l’utiliser sans vibrations. Les hommes ont bien obéi à mon injonction : ils ne se contentent plus de se branler l’un l’autre, ils sont maintenant en soixante-neuf sur le canapé. Parfait. Je m’installe sur le fauteuil, en face d’eux, et je me caresse en les matant. Guillaume est allongé sur le dos, la bite de Maxime dans la bouche. Maxime, au-dessus, lèche les couilles de Guillaume. Sans les quitter des yeux, je fais comme eux : je suce mon engin. Puis j’écarte bien les ...
    ... jambes, et je commence à le passer sur mon minou déjà bien excité.
    
    De temps à autre, l’un des deux me regarde quelques instants avant de reprendre sa fellation. Je les comprends, la vue sur ma chatte ouverte aux prises avec la bite artificielle doit valoir le coup d’œil ! Leurs regards m’excitent, comme si c’était une main ou une langue qui passait sur mon corps. Soupirs et gémissements des hommes s’entremêlent, bientôt complétés par les miens. Petit à petit, j’enfonce le pieu, bien raide, dans mon vagin. De l’autre main, je pince mes bouts de sein. Je regarde les bites des deux hommes apparaître et disparaître à l’intérieur des bouches, et je cale le rythme de ma pénétration sur celui de leurs fellations.
    
    La jouissance me gagne. Les hommes sont agités de longs frissons de plaisir. Ils s’entre-sucent avec ardeur. Je me baise sans retenue. Je les sens au sommet du plaisir. Je vais les y rejoindre. Maxime gronde et râle, mais c’est Guillaume qui, le premier, se libère dans la bouche qui l’avale. Mon orgasme se déclenche alors. Tout en criant ma jouissance, je vois que Maxime, à son tour, éjacule dans la bouche de Guillaume. Ils restent un long moment immobiles, repus. Je me suis bien envoyée en l’air, mais j’ai surtout envie de les applaudir, tant le spectacle était réussi.
    
    Chacun se remet de ses émotions, puis Maxime se lève et nous propose un verre de jus de fruits, agrémenté d’un peu de rhum. Personne n’est contre, et il prépare immédiatement nos verres, qu’il sert ...
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