1. Féérie royale au Cap d’Agde (10ème partie)


    Datte: 03/09/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Couple-subtil, Source: Hds

    ... donner ce plaisir. D’ailleurs il avait soigneusement pris le soin de se masturber toute la semaine pour ne pas être trop excité quand elle reviendrait.
    
    Mais là devant elle il bandait comme un fou : « Tu peux me dire ce que vous avez fait toute la semaine. Des visites culturelles j’imagine ?
    
    - Ce n’est pas trop son truc. Il baiserait la Joconde s’il pouvait… » Ils rient. Il rit jaune. Elle reprend : « Tu le connais. Il voulait un esclave sexuel pour la semaine. Je n’ai jamais quitté mon collier et ma laisse. Toute la semaine il m’a promené dans le village naturiste. Totalement nue. Comme sa propriété. J’étais excitée en permanence et il me conduisait chez ses amis pour qu’ils me prennent.
    
    - Tu étais bien protégée quand même.
    
    - Bien sûr. Il ne transige pas là-dessus. Et avec sa carrure personne ne le contredit. Non tu vois j’ai passé une semaine comme j’en rêvais. Esclave sexuelle des mâles. C’est un peu ce que tu attendais de moi quand on s’est lancé là-dedans non. »Léopold ne répond pas. Elle reprend : « Une après-midi je me suis fait prendre pas vingt mecs qu’il avait réunis dans son appartement. Ca a duré des heures avant qu’ils jouissent tous sur moi. J’étais couverte de sperme. C’est assez dégoutant mais tu vois j’ai joui comme une folle ce jour-là. C’était hier. Le soir il m’a cajolé et fait l’amour comme un amant prévenant. Sans mon collier.
    
    - Quel gentleman !
    
    - Non c’est une ordure. Je le sais bien. Il profite de moi mais dès qu’il me donne un ...
    ... ordre je fonds littéralement. Je ne sais pas comment te dire. C’est comme d’être face à un cobra et ne rien pouvoir faire. »Ils se regardent. Elle a toujours son sac à la main comme si elle allait partir dans la minute.
    
    « Tu le reverras ?
    
    - S’il m’appelle je crois bien que j’accourais comme une conne.
    
    - C’est un peu dur pour moi tu ne trouves pas. Je t’aime comme un fou mais tu ne m’appartiens que quand il te laisse à moi.
    
    - Je ne t’appartiens pas. Je n’appartiens à personne. » Ses yeux lancent des éclairs. « Si c’est tout ce que tu as à me dire je fais peut être mieux de me barrer.
    
    - Oui, ta mère t’attend. » Elle fait mine de partir. Il l’a rattrape par un bras, la fait se retourner. L’embrasse, s’empare d’un sein. Elle fait mine de résister. Il s’empare de son sexe et constate vite qu’elle est humidifiée. Il la déshabille. Elle se laisse plus ou moins faire. Toujours habillée il lui intime l’ordre de le sucer. Nue elle se met à genou devant lui et le prend en bouche. Sa caresse est douce, lente, comme il aime. Elle le veut dur, très dur. C’est maintenant elle qui prend les choses en main.
    
    Elle lui prend la main et l’emmène dans leur chambre. Se couche sur le lit, les jambes largement ouvertes pour l’accueillir. Il prend juste le temps de se déshabiller, de descendre un peu un store car il fait grand jour et a au moins le plaisir d’être le seul à avoir le droit de la pénétrer sans préservatif.
    
    Il va longtemps lui faire l’amour, dans toutes les positions, ...