Laurence les enchaîne bien
Datte: 03/09/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Zagalle, Source: Hds
... l’inspirait… il n’y avait personne à la piscine pendant le repas du midi, j’avais décidé d’y commencer ma deuxième journée de vacances par une bronzette. J’arborais un maillot deux pièces turquoise particulièrement évocateur par sa composition : le haut de ce micro bikini se résumait en un bandeau très fin qui cachait tout juste les mamelons tout en laissant bien déborder du tissu l‘ensemble de mes nibards ; le bas était constitué d’un string rectangle pas plus large qu’un ticket de métro. A ne pas utiliser si on a une petite toison. Aucune crainte en ce qui me concerne, j’avais bien épilé cette chatte de salope, histoire d’être bien accueillante. Un petit paréo et des mules hautes pour l’été complétaient ma tenue. J’aime bien les mules, ça m’excite et je sais que ça fait bander… la démarche est chaloupée et sensuelle, de plus ça fait balloter les nichons…
Or ce dernier détail est d’importance pour Laurence. A l’époque de l’histoire, elle avait déjà vécu une grossesse et sa poitrine s’était bonifiée, prenant en volume et plasticité. Tous ses mouvements avaient une tournure hyper sexy, elle avait découvert ce fait et s’en délectait de plus en plus. Ces vacances, elle les passait en compagnie d’une de ses amies proche, c’était leur moment à elles. Sans conjoints ni enfants. C’est d’ailleurs Karina qui l’avait initiée au port des mules hautes, lui faisant l’article sur les bienfaits de cet accessoire.
« Mais t’as baisé au bord de la piscine ? » m’inquiétais-je. Elle ...
... indiqua lui avoir taillé une pipe à deux pas des appartements au risque de se faire surprendre par les résidents ayant vue sur le bassin. « Dommage parce que ça m’excitait et lui aussi, il était au bord de l’explosion tellement je m’appliquais à bien m’occuper de son manche. On est allé dans son appartement et je me suis faite défoncée bien vite… trop vite peut-être ».
L’entrée arrive, le serveur distribue les plats esquissant un sourire complice qu’il partage avec moi. A-t-il entendu des bribes du récit où se fonde-t-il sur l’apparence salope de Laurence pour se faire une idée de ce que nous évoquons ?
Elle reprend le récit de ce jour de vacances :
- Trop vite, en effet, ce qui explique que quelques heures plus tard, j'ai dit oui à un mec que j'avais jamais vu. Sur la plage, il a juste dit "wanna fuck ?". J'ai pas hésité plus de 3 secondes, le précédent m'avait laissé sur ma faim, pas assez cochon pour moi. Alors que le 2ème, cuisses encore mouillées du sperme du précédent, c'était un putain de salaud. Insultes en rafale, en anglais certes mais j'ai bien tout compris.
Il ne pensait qu'à une chose, se faire mon cul ! Alors là ça a baisé sévère je vais dire, celui-là c'était du lourd.
Sa bite était partout à la fois et il menait tout ça rondement pour me prouver quel mec il était. Pas mal, pas mal du tout...
Si je me souviens bien, ce gars était pressé de tirer son coup, on n’a même pas eu le temps de se mettre à l’abri dans un bungalow. Juste le temps de me lever ...