1. COLLECTION HISTOIRE COURTE. Ma deuxième vie sexuelle (1/1)


    Datte: 02/09/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... chauffer ?
    
    La verge de Norbert me paraît bien fade et bien lointaine, certes, avec sa mort.
    
    Mais aussi du temps de notre mariage, car je la voyais seulement quand je venais au cabanon et que sans prendre de précaution il la sortait pour pisser un coup.
    
    J’avais une chaise longue et jamais l’idée de me baiser lui est venue alors que je me saurais laisser faire.
    
    • Suce ma belle, si tu le veux bien sûr, j’adore les femmes d'âge mûr, il y a longtemps que je lorgnais sur toi.
    
    Apprendre que ce jeune homme en pinçait pour moi m’apporte une jouissance en le suçant, jamais ressentie.
    
    Pour la première fois de ma vie lorsqu’il arrache le gode de ma fille et qu’il se penche pour me caresser et finir par me mettre ses doigts, je sens qu’une chose inconnue va se déclencher en moi.
    
    Une première jouissance alors que j’ai une bitte pour la première fois dans ma bouche.
    
    Ses doigts puis sa verge qu’il sort de ma cavité buccale pour me l’enfoncer bien profond et labourer ma terre presque vierge penant de long minute .
    
    À sa demande, me retrouver en levrette sur mon canapé sa bouche venant me bouffer littéralement ma chatte me fait partir sur des sommets inconnus du temps de Norbert.
    
    Je vis, je nais, plutôt l’inverse, mais mon corps lui appartenant, je suis dans l’incapacité de dire combien de fois dans ce premier coït, la boule en moi vient exploser.
    
    Quand je fais le ménage conformément aux recommandations j’aère.
    
    Par chance, la seule maison près de la mienne ...
    ... est celle de Jacqueline, mère de Hugo.
    
    Elle est présentement partie en vacances avec son nouvel amant, un vieux de quarante ans.
    
    Avant et après la mort de Norbert, j’aurais pu comme elle, accumuler les amants surtout quand je sentais une certaine frustration.
    
    Mais j’avais pris une autre voie, le ménage, que rapidement Hugo m’aide à m’en sortir.
    
    C’est sans aucun scrupule que je hurle mon plaisir si longtemps réfréné.
    
    Il va de soi, que c’est trois jours plus tard que j’entends du fond de mon lit où il vient de me déchirer me laissant pantelante sur mon lit, pardon notre lit que j’entends le moteur.
    
    La tonte certainement terminée, il revient vers moi couvert de sueur.
    
    Ça sent l’homme, ça put l’homme, mais lorsqu’il carte mes cuisses, j’ouvre les yeux pour le voir regarder ma chatte.
    
    • Florence, je vais te raser la chatte, j’adore les femmes rasées et ton buisson est trop grand, j’ai trouvé un rasoir avec du savon à barbe.
    
    C’est à ce moment que Norbert revient à la surface, ce rasoir et le savon étaient les siens et je les avais bêtement laissés dans ma salle de bain, même lorsque je l’ai récuré.
    
    Il va de soi que les balades et les parties de jambes en l’air, toutes les fois me faisant jouir de plus en plus ont rendu ma maison plus près d’une bauge que de ce qu’elle était avant qu’Hugo devienne mon amant.
    
    Si vous saviez ce que je m’en fiche.
    
    En ce moment, il me baise dans ma cuisine, carrement sur la table ayant écarté les restes de pizza que ...