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Noémie la renifleuse de queue à la FAC - Le gardien baise ma bouche
Datte: 02/09/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: SMART77, Source: Hds
Bonjour à tous, Je m’appelle Noémie j’ai trente-cinq ans et je suis ici pour vous relater toutes les frasques sexuelles que j’ai vécues et que mon mari m’impose de livrer pour son plus grand plaisir. C’est un véritable obsédé et il aime m’utiliser ou me prêter à des vieux pervers. Ma spécialité ? Tailler des pipes. Mon péché mignon ? Les bonnes odeurs de bites sales ! Partie 4 Le gardien baise ma bouche Je devenais folle tant ce vieux pervers m’excitait. Ses senteurs nauséabondes me faisaient divaguer. Je voulais avoir sa bite au bout de mon nez et profond dans ma chatte. Il m’attrapa par les cheveux en me faisant couiner pour me jeter à ses pieds. — Tu veux sentir l’odeur de ma bite, tu vas l’avoir ma petite renifleuse ! Il frotta ma tête contre son bassin. Je ressentais toute la grosseur de son membre sur mes lèvres, mes joues, mon front. Cela humait fort même à travers le tissu en velours. Sa poigne combinée à ses effluves me donnait envie de lui bouffer sa queue. — J’adore votre paquet, Monsieur Robert Hummmm, hummmmmm. Je tâtais son morceau à travers l’étoffe et mouillais en devinant l’épaisseur ? — Gémis chienne, tu vas pas être déçue du voyage. Il m’écarta en tirant mes cheveux en arrière comme un vulgaire chiffon. — Ferme les yeux sale pute ! — À vos ordres monsieur Robert. Il me cracha un jet de salive méprisant au visage. Les mains posées sur les genoux, la poitrine gonflée » sous mon t-shirt trempé de pisse je l’entendais ...
... s’affairer sur sa braguette. Après le bruit du frottement du tissu, une odeur pestilentielle se propagea tout autour de nous. — Olalalala ce que ça sent fort monsieur Robert ! — Attends, tu as rien vu ! Son gland effleura mes narines affutées. Même pour une adepte de bite crade comme moi cette odeur frôlait l’insoutenable. L’air se chargea d’effluves de sexe qui me transcendait. Cette puanteur me rendait dingue. — Sniff, hummm, sniff, hummm — Tu aimes hein. Je rêvais de tomber sur une belle cochonne comme toi ! — Oh oui elle pu beaucoup votre queue monsieur Robert. Je n’ai jamais senti une chose pareille. hummm, snifff.. Puis-je la renifler de près s’il vous plait, monsieur Robert ? demandai-je d’un air ingénu. — Gourmande ! Vas-y ; colle tes naseaux sur mon manche ! Je me jetai dessus les yeux fermés. — Hummm snif.. Hummm ce qu’elle sent fort ! Hummm… snif snif… hummm je kiffe… Jamais de ma vie je n’avais senti une odeur pareille. Même quand je ne lavais pas ma chatte pendant deux jours. Je savourai mon plaisir et me fier seulement à mon sens de l’odorat décuplait mon excitation. — Allez, ouvre les yeux chienne. J’obtempérai, m’attendant à trouver une surprise à la manière d’une fillette devant un paquet cadeau. Je découvrais enfin de près son bâton puant qui sortait de sa braguette. Foncé, court, aussi large qu’une canette de coca. Il remarqua mon émoi dans mon regard inquiet. — T’en as jamais vu des grosses comme ça hein ? — Oh que ...