Plaisirs des hauteurs Chapitre 4 (fin)
Datte: 02/09/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Bichou, Source: Hds
... bouche, te faire enculer sous tes cris de jouissance, écarter les cuisses …- Arrête, tu te fais du mal, tu me fais du mal.
Les larmes commencent à couler.
- Tu vois, je pense que cette histoire me montre ton vrai visage, à côté de la mère de famille aimante, l’épouse attentionnée, j’ai vu une salope se faire prendre par un inconnu dans toutes les positions et qui aimait cela. Ta vraie nature est apparue. Tu as ouvert une porte, libérer une libido que je ne soupçonnais pas, des comportements qui sont loin de mes valeurs, celles que je porte et celles que j’ai voulu inculquer à nos enfants.
- Non, non. Je ne suis pas comme cela. C’était une erreur, une monstrueuse erreur. Je sais que je n’ai aucune excuse mais je te demande au moins de pardonner à défaut d’oublier. Je n’aime que toi…- Cela ne s’est pas vu.
J’aurais peut-être pu pardonner une erreur passagère mais que se serait-il passé si je n’étais pas intervenu ?
Je ne te suffisais plus pour aller t’encanailler de la sorte ? Tu m’as trompé, menti et je me sens humilié. Aujourd’hui, tu as des remords. Mais de quoi exactement : de m’avoir trompé ou d’être démasquée ?
Tout à coup, Mathilde se rend compte ; c’est toi qui as pris ces photos ?
- Oui- C’est donc toi qui as pénétré dans le chalet ?
- Oui- C’est toi l’agresseur ?
- Ne renversons pas les rôles, c’est moi qui me suis senti agressé dans notre vie.
- Comment as-tu obtenu ces photos humiliantes ?
Paul lui raconte alors tout : ses ...
... doutes, son arrivée alors qu’ils partaient au restaurant, la boîte de nuit, le retour au chalet. Son regard est dur.
- Ma colère était telle que j’aurais pu les tuer à main nue. Je me suis enfui pour ne pas commettre l’irréparable.
- Pourquoi n’es-tu pas intervenu plus tôt ? Tu aurais pu éviter le pire !
- Cela va être ma faute maintenant. Tu ne manques pas d’air….
- Ce n’est pas ce que je voulais dire.
Le silence s’installe seulement entrecoupé de sanglots et de reniflements.
- En te revoyant, j’espérais que le fonds d’amour pour toi puisse reprendre vigueur mais mon dégoût et ma tristesse anéantissent tout sentiment pour toi. Je ne t’aime plus. Je ne ressens plus rien pour toi. Tu resteras seulement la mère de mes enfants. J’ai perdu toute confiance en toi, et sans confiance, il n’est pas possible de bâtir quoi que ce soit.
- Non, non ….laisse-moi une chance.
- Et dès qu’un bellâtre pointera le bout de son nez, tu recommenceras tes mensonges, tu me trahiras à nouveau ? Le plaisir interdit de l’adultère t’est à présent connu et tu y as goûté intensément. Tout repartira…- Ma décision est prise, nous allons divorcer. Je ne veux pas de batailles sordides vis-à-vis des enfants, je ne te veux pas de mal. Si tu es d’accord, nous divorcerons par consentement mutuel cela évitera l’étalage sordide de ta turpitude. Je te laisse la maison, nous partagerons équitablement la garde des enfants. Il t’appartiendra de leur expliquer. Enfin, je te verserai une pension ...