1. Les week-ends de madame Kléber


    Datte: 02/09/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... autour de la poitrine, lui arrivant à mi-cuisses. Sébastien avait de plus en plus la gorge nouée. Après avoir fini son orangeade, elle fixa son hôte et dénoua sa serviette pour apparaitre dans une nudité qui n'était plus de plage mais d'appartement. Elle s'avança vers lui, lui prit le visage et l'embrassa sur la bouche avant de lui souffler à l'oreille en se collant à lui :- J'ai envie de baiser.
    
    Alors, la fougue emporta le mâle. Il la souleva et l'emporta dans sa chambre avant de la déposer sur le lit, triquant comme Priape tandis qu'elle gloussait dans ses bras. Il ne pensait qu'à ça depuis deux jours et elle s'offrait sur un plateau. Elle dut réfréner son ardeur :- Doucement, on a le temps, mon mari ne m'attend pas encore.
    
    Elle l'aida à se dévêtir, flatta sa queue tendue, chargée de promesse pour elle. Elle avait très envie d'être pénétrée mais aussi de sucer cette belle bite qu'elle avait plusieurs fois lorgnée sur la plage, se demandant ce qu'elle était en érection. Elle fut gloutonne et Sébastien dut l'arrêter de peur d'éjaculer prématurément. Il se calma un peu en la léchant longuement et d'entendre madame Kléber roucouler sous l'effet de sa langue le renvoya dans un flash à sa collègue occupée derrière son ordinateur, concentrée et industrieuse. L'antithèse de celle qui se cabrait en agrippant sa nuque. Et il se préparait à la baiser.
    
    C'est elle-même qui l'implora de "venir". Dûment capoté, il la laboura les yeux dans les yeux, baignant dans l'huile, long ...
    ... et dur. Il lisait dans son visage le plaisir qu'il lui procurait par l'activité de sa bite. Mais il n'avait pas affaire à une ingrate. Elle remuait sans cesse, du cul, des cuisses, des pieds, ses mains rivées à ses flancs ou à ses fesses. Et elle commentait avec une verdeur qui confirmait qu'il y avait deux femmes en elle : celle du bureau et celle du plumard.
    
    A ce stade du récit, il convient de s'attarder un peu sur la personnalité de Madame Kléber, Fabienne de son prénom. Mariée depuis plus de vingt ans avec un homme de quinze ans plus âgé, mère de deux enfants désormais hors du foyer conjugal, elle avait passé sa vie à lier éducation et travail au détriment d'une vie sexuelle devenue routinière. La fréquentation assidue d'une amie de longue date, devenue sur le tard libertine et naturiste en compagnie de son mari, lui avait cependant montré que la maturité n'excluait pas le culte du corps, sous toutes ses formes. La nature ayant été bonne fille avec elle, elle avait trouvé regrettable de ne pas lui donner à manger avant qu'elle ne finisse par la trahir. Elle avait fini par oser bronzer nue, pour son grand plaisir, parfois avec son couple d'amis, parfois seule. Elle avait assisté, frustrée, à leur pelotage suivie d'un repli dans les dunes pour s'accoupler au grand soleil et en revenir ravis et comblés.
    
    Mais sa vie sexuelle restait conjugale, et conforme à l'image qu'elle donnait d'elle-même dans le cadre de son travail. Personne n'imaginait qu'en la voyant tapoter sur ...
«1...3456»