1. La nouvelle donne


    Datte: 31/08/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Galileo, Source: Hds

    ... des soucis de la vie courante. Cependant pour l'encourager ou pour le menacer, je pouvais passer instantanément du rôle de la maîtresse de maison à celui de maîtresse intransigeante. J'avais bien assimilé les conseils de Solange, toujours le maintenir en position de quémandeur. Oubliée l'époque où j'étais horrifiée à l'idée de lui pisser dessus malgré ses demande insistantes, impensable pour moi qu'il puisse avaler ce breuvage qui me semblait immonde. J'ai évolué et me régale maintenant de voir son visage légèrement inquiet lorsque je lui promets une très grosse production bien ambrée et odorante. Lorsque qu'à la fin de ma miction, je vois ses yeux vitreux, à la limite de tout régurgiter, je le menace alors de le priver de mon nectar pour une période plus ou moins longue. J'adore alors voir son air de chien battu, souvent je craque et, magnanime je le laisse mettre son groin entre mes cuisses pour me lécher.
    
    Et justement, il m'obéissait parfois trop à mon goût, je lui avais indiqué que c'était moi qui décidais des moments sexes mais finalement, je me suis aperçu que j'aimais bien lorsqu'il me sollicitait, c'est toujours agréable de se sentir désirée. Par hasard, j'ai trouvé une solution pour qu'il puisse se manifester lorsque ses envies de sexe devenaient trop impératives sans remettre en cause ma suprématie. Je lui avais indiqué qu'il pouvait venir se frotter à quatre pattes sur mes jambes et de ronronner comme un matou. J'aimais beaucoup ce jeu, le voir se glisser ...
    ... entre mes pieds, me lancer des regards suppliants. En réponse, j'utilisais plusieurs possibilités sans qu'il puisse prévoir mes réactions.
    
    Par exemple, je feignais l'ignorance, cela l'obligeait à faire montre de soumission, à insister, tant que je ne l'avais pas repoussé du bout du pied au moins trois fois ou quatre fois. D'autres fois, je préférais le regarder de haut, méprisante, laissant parfois tomber un filet de salive qu'il s'empressait d'avaler, me servant de lui comme d'un tabouret sur lequel je posais mes jambes. Malgré tout, je savais bien que je ne devais pas le laisser plus d'une semaine sans se vider les couilles, alors souvent le soir à la maison je portais des tenues suggestives, il adorait lorsque je me déguisais en petite fille pas très sage, talons plats, socquettes blanches, minijupe à carreaux et culotte en coton mais ce qu'il préférait, c'est lorsque je m'habillais en pute, minijupe et porte jarretelles, m'asseyant confortablement dans un fauteuil, alors, l'air de rien, j'écartais légèrement les cuisses pour qu'il puisse entrevoir ma petite culotte pendant qu'il se frottais sur mes jambes en miaulant.
    
    Après un quart d'heure ou une demi-heure de ce traitement, je l'autorisais généralement à se branler à genoux devant moi tout en fixant mon entrejambe. Une variante consistait à enlever ma culotte, me torcher les fesses avec et la lui donner à sucer. Il était alors trognon avec ma petite culotte qu'il suçait avec ferveur tout en agitant frénétiquement son ...
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