1. Jung-Hyun & John 03 - Dévorée


    Datte: 29/08/2024, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byCobalt_Blues, Source: Literotica

    ... concupiscant en relevant les sourcils d'un air expectatif. Il n'avait pas l'air surpris le moins du monde que l'audace abandonne son amante à ce moment précis.
    
    -- Ne me regarde pas... comme ça.
    
    Elle parlait d'une voie frémissante d'un mélange de pruderie et d'excitation. John prit une inspiration.
    
    -- Tu ne t'es pas levée si tôt pour que je te fasse l'amour comme à une girlscout. Je ne suis pas ton mari, je t'ai promis de te faire tout ce dont tu as profondément envie. Et toi, en échange, tu as dit que tu ferais ce que je te demande.
    
    Quelques secondes s'écoulèrent durant lesquelles elle n'entendait que son cœur tambourinant contre ses tympans. Elle ravala sa salive.
    
    -- ...J'ai dit peut-être.
    
    Cependant ses jambes se mirent à frissonner. Elle grimaça sans dire un mot et, progressivement, délia ses cuisses sous les impitoyables yeux de prédateur de John. Ses deux réticents morceaux de chair rebondie s'écartèrent, dévoilant le plus lentement du monde la fente chaude et coulante de l'asiatique.
    
    Ses battements frappaient violement dans sa poitrine. Mis à part une poignée de professionnels de santé, personne au monde n'avait posé le regard sur elle ; même son propre mari n'avait jamais aventuré ses yeux ici-bas. Pourquoi John insistait-il? Est-ce que la vue d'une vulve pouvait à ce point exciter un homme?
    
    Il fixait son entre-jambe qu'elle lui dévoilait avec une obéissance embarrassée. Le visage de John était comme figé dans une expression de contemplation. ...
    ... Elle ne comprenait pas.
    
    -- Tu es magnifique.
    
    Elle rougit plus encore.
    
    -- J'aime ton corps tout entier, poursuivi-t-il, tu m'excites tellement.
    
    Il caressait machinalement les jambes nues de ses mains. Donc, se dit-elle, les hommes sont bien des animaux parmi d'autres. Cette pensée commençait à prendre du sens dans son esprit. La vue de son organe en chaleur activait tout simplement ses réflexes primaires.
    
    D'une manière qu'elle peinait encore à comprendre, cette explication la rassurait. Elle aurait voulu éclater de rire et le traiter de primate, mais sa gorge était toujours serrée par la chappe de modestie pudique qui commençait tout juste à se fracturer en elle. Encore un petit effort et elle s'en libérerait pour de bon, comme une fleur perçant le bitume.
    
    Elle continuait d'écarter les cuisses face à lui. Entre ses collines labiales humectées, la lente éclosion du sillon rose sombre révélait doucement toutes ses cachettes les plus défendues. Petit à petit, son clitoris s'épanouissait à l'air libre comme un bourgeon gonflant sous son capuchon. Ses petites lèvres luisantes se déployèrent en révélant l'embouchure de sa grotte. Elle ruisselait, elle tremblait. Toute sa physionomie féminine n'avait plus aucun secret pour son amant.
    
    Il semblait hébété par le spectacle de cette femme en tailleur austère, tirant sa jupe pour s'exposer dans la position la plus scandaleuse.
    
    John plongea la tête vers elle et embrassa l'intérieur de ses deux cuisses ouvertes. Les ...
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