Les Mésaventures de Laurence 01
Datte: 27/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byalexandredelafressange, Source: Literotica
... dieu, Pascal! Quel travail d'orfèvre! Un vrai chef d'œuvre! Tu saurais faire le même, mais cette fois de son verso? J'adore son dos et ses fesses...
Les 2 hommes s'enthousiasment sans même attendre la réponse de l'intéressée et celle-ci, quinze jours plus tard, se retrouve à nouveau sur le canapé, mais cette fois en présentant son fessier. Son copain a également exigé qu'elle écarte bien les fesses afin que « même son anus puisse être peint ». Et pendant 3 nouvelles séances de pose, elle sert donc de modèle.
Même lenteur voulue par l'artiste afin de profiter le plus longtemps possible de sa nudité, même résultat extrêmement réaliste : le tableau ainsi fini est tout aussi beau que le premier. Le reste du week-end se passe sans anicroche, Sébastien faisant passionnément l'amour à sa copine.
Celle-ci, vaincue par les expériences récentes non voulues, a perdu toute confiance en elle.
Le week-end suivant, après lui avoir annoncé qu'il stoppait ses études pour travailler désormais avec son père dans l'entreprise familiale tout en la rassurant sur le fait que cela ne changerait rien à leur relation et qu'ils se verraient toujours, Sébastien lui indique aussi qu'à l'avenir ils feront l'amour dans la chambre en laissant la porte ouverte.
-- Mais... bégaie-t-elle, ton papa va m'entendre jouir? Je ne peux pas faire cela...
- Quelle importance? Mon père s'en moque. Et je te demande de ne pas te retenir et de crier comme d'habitude. Je trouve cela assez excitant. ...
... Cela maintiendra la passion que j'éprouve pour toi, mon amour.
Le samedi soir, Laurence vit cette première expérience étrange. D'autant qu'après l'avoir fait mettre à 4 pattes, il la sodomise longuement, l'obligeant à se branler le clitoris pendant tout le temps de la pénétration anale. D'abord rétive, elle finit par se soumettre et à crier au moment de l'orgasme.
Le dimanche matin, au petit déjeuner pris en famille, Raymond ne fait aucune remarque.
Sa belle-fille est soulagée : sans doute n'a-t-il rien entendu. Le reste de la journée se passe suivant le même schéma : elle est prise plusieurs fois par son copain, la porte de la chambre restante toujours ouverte.
La semaine à l'université s'écoule tranquillement et de retour le vendredi soir dans sa belle-famille, elle se voit annoncer par Sébastien, tout guilleret, que les deux tableaux la représentant ont été accrochés : - Finalement, je les ai mis aux murs dans la chambre de mon père. Ils donnent bien mieux, car l'endroit est très spacieux. Laurence se liquéfie :
- Mais... mais... arrive-t-elle à peine à articuler.
-- Bah... on lui doit bien cela. Il paie tout pour nous deux, nous emmène dans des restaurants gastronomiques... Au moins, le matin et le soir, en se levant et en se couchant, il verra une belle femme. Ce ne sont que des tableaux...
Les week-ends se suivent. Les vacances de Pâques arrivent. Laurence va se partager entre ses parents et son ami, à raison d'une semaine chez les uns et chez ...