1. À rideau tiré


    Datte: 26/08/2024, Catégories: fh, 2couples, inconnu, magasin, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, pénétratio, Auteur: CarpediemAdlib, Source: Revebebe

    ... Johan hallucine totalement. Son dard se redresse et s’éjecte du maillot. Je ne l’ai jamais vu aussi gros, le gland gonflé, dur et violacé.
    
    Antoine passe la main dans ma cabine et me saisit un sein. Il le caresse, joue avec mon téton, le tire, le roule entre ses doigts, le caresse tel un trésor. J’ai fermé les yeux. Je soupire… j’inonde le maillot de ma sève. Johan ne dit rien. Ne bouge pas. Captivé par mon audace.
    
    La main d’Antoine descend jusqu’à ma touffe, puis… je sens un doigt me pénétrer. Délicatement. Profondément. Son pouce prend possession de mon clitoris. Je vibre. J’attrape moncrop top et me le colle sur la bouche… j’ai envie de hurler ! Un deuxième doigt me pénètre… toujours délicatement, profondément. Les deux restent immobiles. Seul son pouce s’active autour de mon petit bouton. Tel un gamer sur un joystick, il se joue de lui. Tantôt vif, tantôt lent, dessous puis tout autour… C’est au moment où je sens un troisième doigt entrer en moi qu’il accélère son mouvement. Cette fois, il ne ralentit plus. Il m’emporte ! Je hurle silencieusement dans mon top : « Oh mon Dieu ! C’est trop bon ! ».
    
    Mes jambes tremblent, il me retient par ses doigts enfouis au plus profond de moi. Il rentre dans la cabine et referme entièrement le rideau. Je ne suis plus totalement là. Je me laisse faire. Il sort mes seins du maillot et pose son visage dessus. Il savoure ce que sa femme ne peut lui offrir. Sa main sortie de mon antre, il se lèche un à un les doigts trempés de ma ...
    ... jouissance, puis il empoigne mes fesses.
    
    Encore perdue par la force du plaisir, j’ouvre son bermuda et sors son sexe. Je m’accroupis. Je retire le haut de maillot et enserre sa queue entre mes seins. Elle glisse toute seule. Son gland expulse avec force le lubrifiant nécessaire. Je le vois surgir à chaque va-et-vient. Je le regarde dans les yeux et le branle énergiquement. Je veux le voir jouir à son tour. Je lape son gland avant qu’il ne disparaisse entre mes gros seins. Les deux mains calées vers l’extérieur de mes poires, j’accentue la pression sur son membre, amplifie mes mouvements et le gobe littéralement à chaque apparition de son bout.
    
    Mon dernier coup de langue lui est fatal, il explose. Je prends le premier jet sur le visage puis il se vide sur mes seins jusqu’à la dernière goutte. Je le masturbe encore, ma façon de le remercier. Je me redresse et m’essuie avec la tenue de running puisque celle-là je l’achète – merci les caisses autonomes – et m’habille rapidement, mes sous-vêtements dans ma poche. Mes seins libres sous moncrop top sont encore gonflés et provocants. Nous sortons de la cabine, personne. La cabine d’à côté est vide. Celle d’en face est fermée.
    
    Nous quittons le rayon pour déambuler dans les allées, hagards, sans but. Antoine continue de profiter de moi. Sous prétexte d’attraper un article, il caresse mes globes du dos de la main – mammaires comme fessiers –, je me laisse faire. Au rayon randonnée, un homme fait semblant de regarder les mêmes ...
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