1. Des vraies femmes qui aiment les jeunes (1)


    Datte: 26/08/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    MURIEL
    
    Muriel s'était pourtant jurée, après sa rupture avec son amant Thierry, de ne plus avoir de rapports avec des jeunes hommes. Après avoir bien profité de son corps voluptueux de quinquagénaire épanouie, ce trentenaire marié l'avait laissée tomber comme une vieille peau, non sans lui avoir promis la rupture avec son épouse pour vivre avec elle. Pauvre naïve ! Elle l'avait cru sur parole comme une midinette. Et tout ça parce qu'il la faisait jouir comme personne. Avec lui, elle s'était sentie rajeunie de vingt ans, mouillait comme à ses plus beaux jours, faisait avec lui ce qu'elle n'avait jamais accepté de son ex mari. Il pouvait venir chez elle n'importe quand pour se et la satisfaire. Elle avait fait sa révolution sexuelle. Elle baisait. Mais depuis quelques mois, elle ne baisait plus. Elle avait rangé ses décolletés plongeants sur son opulente poitrine, ses pantalons moulant ses fesses charnues, négligé coiffeur et esthéticienne. Elle se laissait aller. Elle ne faisait plus que se masturber avec son gode surmené.
    
    Et puis, Cédric croisa sa route. Il était membre de la même association qu'elle et elle était tombée vite sous son charme viril de jeune gars de 25 ans, jean, baskets et polo sans manches dévoilant deux beaux biceps. Il avait vite flashé sur cette mature à gros seins et beau cul, à l'air un peu salope, qui le regardait avec l'oeil brillant. "Une femme qui baise", avait-il conclu. Et justement, il cherchait ce profil faute d'avoir trouvé l'âme soeur, ...
    ... ou au moins une fille qui couche sans se faire prier, ce qui devenait de plus en plus rare. Un soir, il l'avait invité à prendre un verre. Elle l'avait beaucoup écouté pendant qu'il parlait en matant ses seins. Et quand elle avait fini par dire "on va chez moi ?", il avait frétillé comme un gardon.
    
    Muriel était arrivée à un âge où les approches de séduction, si prisées de la jeunesse, recelaient quelques limites. Quand un gars lui plaisait, et qu'elle comprenait que c'était réciproque, pourquoi perdre du temps en parlotes ? Elle avait besoin de bite, il avait besoin de chatte, ils étaient deux adultes consentants à mélanger leur corps et c'était l'essentiel. En outre, les dernières fois qu'un homme était entré dans son lit, après sa rupture avec son jeune amant, elle était restée sur sa faim. Dans sa volonté à oublier Thierry et à se "recentrer" sur des hommes de son âge, un peu gras, un peu mous, elle avait réalisé qu'elle ne pouvait plus jouir qu'avec de la fougue, de la raideur, de l'endurance, quitte à se faire un peu secouer. Elle aimait encore trop le sexe pour retomber dans une conjugalité larvée.
    
    Quand elle découvrit le corps nu de Cédric, après un déshabillage express à peine franchie la porte de son appartement, Muriel se dit "bonne pioche". Pectoraux, abdominaux, fessiers, le garçon était un parangon de masculinité. Sa queue droite, tendue, témoignait de l'intensité de son désir. Il bandait dur devant son corps nu, voluptueux de quinquagénaire et elle le ...
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