1. Un dimanche pas comme les autres - 2


    Datte: 07/03/2018, Catégories: ff, fbi, couplus, bain, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, confession, Lesbienne Auteur: Karine 2, Source: Revebebe

    ... nouvelles d’elles le dimanche ni le lundi ; c’est mardi vers dix heures que je reçois un SMS de Béa auquel je réponds.
    
    Il est clair que cet échange m’a passablement excitée. Je regarde ma montre de nombreuses fois en laissant monter en moi une douce excitation. Je reçois un message à 12 h 30 :
    
    Je vais donc dans la cabine et je n’ai pas à attendre bien longtemps avant qu’elle n’arrive. Elle me sourit en me disant juste un « Salut, toi ! » Un simple petit bisou sur la bouche et elle se met de suite à genoux devant moi. Ses mains soulèvent ma jupe ; elle reste quelques instants à m’observer, puis saisit mon slip de chaque côté pour me le retirer. Je la regarde en me laissant faire, sans un mot. Elle porte mon string à son nez et le respire profondément en fermant les yeux, puis le roule en boule pour le faire disparaître dans son sac. Dans le même mouvement, elle attrape un slip noir qui était déjà dans son sac. Elle me dit que je ne peux pas rester sans culotte avec une jupe aussi courte, et me fait lever un pied pour m’enfiler son string. Le deuxième pied, et le fin tissu remonte lentement jusqu’à être parfaitement en place. Elle rabat ma jupe, se redresse et me quitte sans un mot. Elle referme le rideau en quittant la cabine ; je reste quelques minutes seule dans la cabine à l’écoute de mon corps.
    
    Le string semble être d’une taille trop petite car il me serre sur les hanches. La fraîcheur ressentie à l’entrejambe se dissipe rapidement et le contact du tissu humide ...
    ... sur mes lèvres me déclenche une grande excitation cérébrale. Je fais face au miroir de la cabine et relève ma jupe. La vision me trouble, elle aussi : il s’agit d’un string noir à fines rayures transparentes par lesquelles je vois clairement ma toison. Machinalement, ma main passe sur le slip en pensant à Béa. Je sais que je mouille, et ma main qui survole l’étoffe imagine le galbe de sa propriétaire. Propriétaire qui l’a passablement humidifiée durant la matinée, à en croire le bout de mon doigt. C’est avec le feu au ventre que je prends ma pause-déjeuner.
    
    Béa m’envoie un petit message en début d’après-midi :
    
    Je ne peux m’empêcher de l’imaginer avec ma culotte dans les mains ; je n’avais jamais pensé qu’une stimulation cérébrale pût être aussi forte.
    
    Je rentre en fin de journée chez moi ; mon mari est déjà là. Je file à la salle de bain, histoire de passer une tenue plus confortable. Je quitte mon haut quand monsieur arrive ; il me regarde en se plaçant derrière moi. Je connais bien la bête et je sais parfaitement quelles sont ses arrière-pensées. Il se colle dans mon dos et commence à me caresser la poitrine ; je sais qu’il aime me toucher les seins avec mon soutien-gorge. Il bande déjà : je sens son sexe contre mes fesses. Il quitte mes seins pour passer sous ma jupe. Rapidement, il se faufile dans mon slip pour découvrir ma petite chatte toute mouillée. D’ailleurs, il me fait part de sa surprise de me trouver toute trempée. Je reste silencieuse sans vraiment savoir ...
«12...6789»