1. Un dimanche pas comme les autres - 2


    Datte: 07/03/2018, Catégories: ff, fbi, couplus, bain, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, confession, Lesbienne Auteur: Karine 2, Source: Revebebe

    ... chatouille le lobe de mon oreille du bout de la langue ; effet immédiat. Une douce chaleur m’envahit. Fabienne me caresse en douceur l’entrejambe ; je sens qu’elle prend son temps. Sa main me fait déjà du bien au travers du tissu. Fabienne met fin à notre baiser ; sa main quitte mon slip. Elle se redresse, boit un peu de champagne et vient se mettre à mes pieds, face à mes genoux. Ses yeux brillent… Ses mains, qu’elle pose sur mes mollets, m’obligent à m’écarter un peu. La tête entre mes genoux, elle colle sa bouche sur ma cuisse. Elle dépose une multitude de bisous en remontant l’intérieur de ma cuisse. Béa lui caresse les cheveux en suivant du regard le cheminement de Fabienne.
    
    Elle me tire vers elle, me forçant à glisser mon bassin à l’extrémité du canapé. Fabienne, la tête bien enfouie entre mes cuisses, entame une caresse très sensuelle du bout de son nez. En effet, son regard plongé dans le mien, elle effectue un mouvement vertical de la tête pour suivre du bout de son nez le dessin de ma fente sur le tissu de ma culotte. Je souris devant l’audace d’une pareille caresse. Béa prend possession de ma bouche avec sa langue de velours. Le nez est remplacé par une fine langue rendue pointue. Elle me lèche plusieurs minutes par-dessus l’étoffe. Elle saisit finalement le côté du string pour dégager un accès, puis me refait le coup de la caresse nasale. J’entrecoupe mon baiser avec Béa pour suivre en alternance les événements délicieux prodigués par cette experte. Béa me ...
    ... glisse à l’oreille des mots un peu salaces sur les qualités buccales de Fabienne, qui vient de glisser une langue brûlante en moi. Je suis aux portes du paradis : cette femme sait mieux que quiconque manier mon clitoris ou agacer mes petites lèvres. Je mouille nettement plus que d’habitude, ce qui semble plaire à Fabienne que je sens déglutir contre moi.
    
    Elle saisit mon string des deux côtés et le fait glisser jusqu’au sol, puis me soulève les jambes pour m’en débarrasser. Sa manœuvre a beau être réussie, elle me tient toujours les mollets et me remonte les jambes très haut. Je me retrouve les genoux collés aux seins, offrant à ma gourmande maîtresse une vue très impudique. Elle pose ses mains de chaque côté de mon sexe et m’écarte franchement. Sa langue reprend son ballet qui va maintenant du clitoris à l’anus. Béa, toujours à mes côtés, commence à se déshabiller. Fabienne concentre sa langue sur le plus petit de mes orifices et me pénètre de deux doigts. Je dois bien avouer que cette caresse me plaît bien. Elle reprend le cunnilingus classique en ouvrant mon sexe avec ses mains ; sa langue rentre très loin en moi.
    
    Béa, maintenant complètement nue, se relève et vient derrière Fabienne qui – toujours à quatre pattes entre mes cuisses – me lèche ardemment. Elle lui retire sa jupe, son haut, son soutif et ses chaussures. Le plaisir monte en moi ; heureusement, Fabienne stoppe ses caresses et se redresse ; je peux reposer mes jambes au sol, même si mes cuisses sont toujours ...
«12...456...9»