1. Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 13


    Datte: 24/08/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... à piano et je ne peux maitriser mon vagin qui se contracte et expulse une copieuse dose de liquide. Je n’ai jamais connu ça avec son père. C’est donc ça « l’orgasme » ! Et il a fallu que ce soit son fils qui me fasse découvrir ce que c’est que le plaisir…Ça ne l’a pas rebuté et il se redresse maintenant pour m’embrasser. Je lui fais un grand sourire de reconnaissance et lui avoue.
    
    -Tu viens de me faire découvrir ce que ton père n’a jamais réussi à faire. Il faut dire qu’après cinq minutes grand-max de pinage et une éjaculation rapide, Il s’endormait comme une souche.
    
    Il m’embrasse à pleine bouche pour me faire taire et me faire goûter ma cyprine, me caresse la poitrine et malaxe mes gros nichons à pleine main aux tétons tout durs. Je gémis comme une folle quand il me lèche les seins. C’est si bon, je suis toute chaude entre ses bras. Une de ses mains me touche entre les cuisses et s’insinue dans ma chatte trempée. Il enfonce un doigt entre mes lèvres humides et le retire pour titiller mon clito ou suivre ma raie en insistant chaque fois un peu plus sur mon œillet fripé.
    
    Je lui rends la pareille et me saisis de sa verge qui a un peu débandée. Elle est chaude, elle est douce. On dirait que je viens de le brancher sur le 220 volts car la réaction est immédiate et je retrouve la rigidité incroyable du début. Je frotte son chibre sur ma fente, en éprouvant la dureté sur mes grandes lèvres. J'ais un peu peur de son calibre mais je ne suis pas plus conne que ma sœur où sa ...
    ... petite copine. J’ai très envie de le sentir en moi et il comprend mon appréhension. Il s'y prend si doucement que j'ai à peine senti passer son gland, il pousse l’avantage et sa hampe si massive entre sans difficulté dans mon vagin. Quelle sensation ! Je suis remplie comme une outre quand il bute au fond de ma grotte. Il me colle contre la porte et commence à me « travailler », d’abord doucement puis de plus en plus fort. Je dois me hisser sur la pointe des pieds pour atténuer cette douleur de plaisir quand il va trop loin vu la longueur de son pieu. Arthur me besogne de longues minutes avant de m’entrainer sur le lit sans « déjanter ». Il reprend son pinage avant de se mettre sur le dos et de ne plus rien faire, mettent ses mains sous sa nuque.
    
    -A toi maintenant, tu as fait assez d’années d’équitation dans ta jeunesse pour savoir la méthode qu’on apprend pour suivre l’allure sur un cheval au trot…
    
    Je me rappelle mes cours où contrairement aux cow-boys dans les westerns, on nous apprend à se redresser sur les étriers pour ensuite redescendre sur la selle. Je pose correctement mes deux genoux de chaque coté de son corps et reprends la manœuvre, essayant à chaque fois de prendre en moi le plus possible de son formidable bélier.
    
    -Merci Arthur. Je ne croyais plus à mon âge me faire draguer par un homme et refaire une partie de jambes en l’air mais là, je suis gâtée. J’ai sous mon toit un amant, un mâle avec une bite de cheval et qui sait s’en servir, je suis comblée à un ...