1. Maman, Juliette et Moi 01


    Datte: 23/08/2024, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: bycolibri1172001, Source: Literotica

    ... souligna qu'en vrai pervers la situation m'excitait.
    
    -- Montrer sa bite à ta maman et à ta grande sœur te fait cet effet-là! Il faudra t'exhiber plus souvent! Tu en es fier, je suis sûr! Vas-y maintenant, branle-toi.
    
    Je n'osai pas les regarder, mais je saisis mon sexe dans ma main droite et commençai des allées et venues lentes. Rapidement, je me décalottai complètement et je ressentis un certain orgueil à l'idée de leur montrer mon gland rouge et épais comme une grosse prune. Sans bien savoir pourquoi, j'avais le sentiment — comme sans doute ont tous les garçons — que j'étais bien monté. Du coin de l'œil, je vis que Juliette fixait mon sexe. Elle avait la bouche entrouverte et ne perdait pas une goutte du spectacle. Maman s'approcha de moi et soupesa sans douceur mes bourses pleines.
    
    -- C'est là qu'il cache tout ce sperme dont il englue ses draps, précisa-t-elle. Elles ont l'air encore bien remplies tes couilles mon cochon.
    
    La main de maman sur mes bourses avait propulsé mon excitation à un niveau stratosphérique et je ne tardai pas à perdre toute retenue. Mes mouvements devinrent plus rapides et je serrai ma bite avec force tout en m'appuyant sur maman.
    
    -- Regarde, Juliette, regarde, il va cracher tout son jus dégoûtant!
    
    Maman avait bien deviné et j'éjaculai à longs traits épais en direction de ma sœur. Je n'avais jamais joui aussi fort et remerciai un peu bêtement.
    
    -- C'est la vie, répondit ma mère. Tu as vu, Juliette, c'est impressionnant, ...
    ... non?
    
    Maman n'avait pas lâché mes couilles et elle les pétrissait sans délicatesse comme pour me féliciter d'avoir bien juté. La situation m'avait mis dans un tel état que je bandais toujours. Juliette s'approcha hypnotisée par ma queue et passa doucement sa main dessus.
    
    -- C'est bien, ma fille. Il faut apprendre à ton âge. Tu peux le vider si tu veux. Je sens qu'il en a encore là-dedans, ajouta-t-elle en me palpant les bourses à m'en faire mal.
    
    Juliette se mit à genoux — pour mieux voir, précisa-t-elle — et prit ma queue dans sa main sans la serrer. Elle la caressait sans branler vraiment. Je la regardais d'en haut et trouvai la situation incroyable. Je m'appuyai plus fort contre ma mère jusqu'à sentir contre moi la rondeur de son sein droit.
    
    -- C'est si doux, murmura ma sœur.
    
    -- Serre-la un peu plus fort et décalotte-la. C'est comme ça que les garçons aiment être branlés. Il va mettre un peu de temps à juter cette fois-ci.
    
    Juliette s'appliqua comme si elle découvrait une nouvelle matière au lycée et je ne tardais pas à revoir mon gland orgueilleux sortir de mon prépuce. Je la surpris à passer sa main gauche sous sa jupe, mais, bien sûr, maman fit comme si elle ne se rendait compte de rien. J'étais certain que ma sœur se branlait au moins autant que moi. Mais je supposai que cela laissait moins de traces. Je bandais comme jamais. Juliette variait ses mouvements, serrait, relâchait, accélérait ou ralentissait ses vas-et-viens, comme si elle avait mis la main sur un ...
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