1. Après une saillie (1)


    Datte: 17/07/2019, Catégories: Zoophilie, Auteur: fatout, Source: Xstory

    ... brutalement je jouis, libérant ma cyprine qui coule le long de sa queue. C’est alors que je m’aperçois qu’un homme nous regarde, à peine caché. J’essaie de me libérer mais mon baiseur ne l’entend pas ainsi, bien au contraire car lui aussi l’a vu et s’enfonçant encore plus profondément il me dit « tu as pris du plaisir à voir mon étalon pour ta jument, lui aussi il profite de la saillie d’une petite bourgeoise se faisant tringler et il va pouvoir te voir jouir »
    
    Il en profite pour arracher mon corsage, libérant ainsi à la vue du voyeur, ma poitrine libre de tout maintien et emprisonnant mes seins, il me triture les tétons, les faisant saillir un peu plus. Je ne résiste pas et je me livre finalement totalement, regardant fixement l’homme qui maintenant se branle ouvertement devant nous ; il a compris que nous sommes consentants à sa présence et il s’astique, découvrant un beau mandrin, long et fin. Finalement, il s’approche de nous et me faisant pencher en avant, Fred, celui qui me baise, m’oblige à gober la queue devant moi ; j’ai beaucoup de mal à le gober car les coups de butoir dans ma chatte, m’amènent à lui faire gorge profonde et plusieurs fois, je m’étrangle ; heureusement, son excitation le fait jouir rapidement et ses jets me remplissent la bouche ; je ne peux tout avaler et le trop-plein coule ...
    ... autour de mes lèvres.
    
    Fred est performant car cela fait un bon moment qu’il me possède et il ne faiblit pas, me faisant ainsi jouir plusieurs fois ; finalement, je me retrouve totalement nue, ma jupe sur les pieds et le string arraché ; soudain Fred se cabre et s’enfonçant, ses jets me percutent le fond de la matrice ; accroché à mes hanches, il se déchaine en jouissant, me remplissant d’une semence chaude et puissante. Je ne sais plus où je suis, car si l’un me remplit de son plaisir, l’autre me triture les seins ; quand enfin il se retire, je m’écroule à leurs pieds, dévastée par le plaisir.
    
    Dans le box, l’étalon doit ressentir les effluves de notre étreinte car à nouveau, son mandrin lui bat les flancs. Fred a vite compris que cela m’attire et me prenant par le bras, il m’entraine dans la stalle, à ma grande frayeur car le cheval est très énervé ; sans doute, il a reconnu son maitre qui lui caresse l’encolure, mais s’il se calme, sa queue n’en reste pas moins énorme ; « elle te fait envie, pas vraie, vas y mets ta main dessus, touche là, il va aimer » et joignant le geste à la parole, il me dépose la main sur la tige qui frémit à mon contact. Sa peau est douce, lisse, chaude et quand elle a un nouveau soubresaut, je suis traversée par une décharge électrique. Le début de mon plaisir avec ce cheval. 
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