Un week end avec Elise
Datte: 22/08/2024,
Catégories:
fh,
copains,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
couple,
Auteur: Asimov, Source: Revebebe
... caresse sa rondelle en tournant doucement autour. Je masse doucement et la sent s’assouplir, comme tout à l’heure je rentre facilement en elle. Mon autre pouce rejoint facilement le premier pour continuer de la préparer.
— J’ai envie de ton cul, Élise.
— Fais-moi ce que tu veux.
— Met toi à quatre pattes sur le canapé et remonte ta robe, je veux te voir encore mieux. Maintenant, pose la tête sur le coussin et écarte tes fesses.
Elle me regarde à peine et s’exécute sans rien dire. J’ai vu trop rapidement son visage, un mélange de gêne, de plaisir et d’excitation en même temps. C’est ma langue qui se colle au milieu de sa raie qui vient la surprendre. Je lèche, je fouille. J’enfonce un doigt dans son anus puis un deuxième facilement pendant que je reviens sur son clitoris pendant de longues minutes, un troisième doigt finit par rejoindre les autres.
— Tu veux que je te prenne encore ?
Dans un souffle Élise me répond :
— Mets-la où tu veux.
Je pose mon gland sur sa rosette, ça rentre tout seul. Je m’arrête à la moitié pour mieux profiter du moment.
— Tu es tellement serrée, ça m’excite de te sentir et de te voir comme ça, je ne tiendrais pas longtemps. Caresse-toi je veux t’entendre jouir ...
... aussi.
Ses gémissements sont plus rauques, plus sexuels que sensuels.
Nous avons chacun le souffle court, occupé à notre plaisir, je sens ses doigts s’activer sur son clito.
— Baise-moi, Gabriel, je suis à toi, jouis dans mon cul.
Je ne l’ai jamais entendue comme ça, mon excitation monte encore d’un cran, je ne pensais pas cela possible.
— Dis-le encore.
— Baise-moi, baise-moi fort, viens en moi.
Je n’ai plus de retenue et je la bourre sauvagement, elle crie encore plus fort
Il ne m’en faut pas plus et quelques allers-retours plus tard, c’est en gémissant je me vide dans son cul, mon sexe palpite tellement c’est intense. Ses doigts accélèrent et Élise jouit à son tour. Nous sommes amorphes dans le canapé, presque endormis, maintenant enlacés, face au soleil couchant. On finit par émerger.
— Il manque quelque chose, Élise.
— Encore ?
— Oui, je n’ai pas encore vu tes seins, enlève ta robe. Par équité, je fais pareil !
— Un vrai gentleman, dit-elle en levant les yeux au ciel.
Nous sommes debout, complètement nus et transpirant le sexe. Le soleil se couche.
— J’ai trouvé ce jour magnifique en ta compagnie, Élise. Des idées pour la soirée ?
À son tour de m’attraper les fesses.
— Peut-être bien…