COLLECTION RÉVEILLON de LA SAINT SYLVESTRE. Panne inopinée (1/2)
Datte: 22/08/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... sont de plus en plus légion.
Il m’est même arrivé de lui faire croire que j’avais deux fois mes règles dans le même mois.
Comme tous les hommes, ce sont des affaires de femmes et il s’en fiche.
• Tu commences à me faire chier, je sais ce que je fais, ça va passer.
Ce qui me fait peur, outre le langage peut châtier de Charles, nous sommes seules sur la route.
La nuit noire et les virages se succèdent jusqu’à ce que la voiture refuse d’accélérer.
Je vois Charles verdir et par chance, dans le virage, il y a une place de parking pour en temps normal pouvoir doubler.
J’essaye une nouvelle fois mon portable, rien aucune barre de connexion.
J’ai bien un manteau de fourrure et je gèle lorsque Charles décroche le capot et qu’il descend voir ce qui se passe coté moteur.
Si mon mari était bricoleur, ça se saurait, même un clou il est incapable de le planter.
Avocat, c’est la seule chose pour laquelle il est doué.
Je finis par descendre, mais il semble tourner en rond.
• Je sais ce que tu vas dire, inutile d’en rajouter, il va falloir attendre demain matin, heureusement qu’il y a un plaid à l’arrière.
• Regarde, au-dessus de nous, il y a un chalet, on voit de la lumière, allons demander de l’aide.
Un chemin de neige, je glisse, j’ai mon manteau ainsi que des chaussures fourrées, alors que Charles à sa doudoune, mais il est en chaussures italiennes.
Mes talons hauts, je les ai sur le siège arrière avec la petite valise pour la nuit.
Là ...
... encore, ses chaussures ont été une source de conflit, lorsque je lui ai dit que pour partir en montagne, il aurait pu mettre des chaussures plus adaptées.
Il a rétorqué que pour conduire, il lui fallait de la souplesse et qu’avec des grosses chaussures nous risquions l’accident.
Nous arrivons devant une grosse porte de bois.
Nous entendons de la musique, Charles frappe, aucune réaction.
Il recommence tapant plus fort, on entend que ça bouge et qu’un rideau est tiré avant que la porte s’entrouvre.
Une jeune femme passe le bout de son nez, je vois qu’elle est blonde.
• Nous sommes en panne de voiture, dans le virage au bout du chemin qui mène jusqu’ici, pouvons-nous entrer, il fait si froid, et pouvons-nous téléphoner.
Vous dérange-t-on, vous étiez couché, vous êtes en robe de chambre ?
• Entrer, nous venons de commencer de réveillonner avec des amies.
La jeune femme nous fait entrer dans un vestibule et tir le gros rideau évitant l’entrée de l’air froid extérieur.
• Élodie, qui c’était ?
Sortant d’une pièce, une autre jeune femme se présente simplement revêtue d’un paréo saumon.
Nous voyant, elle rentre dans la pièce.
Je comprends tout de suite que la soirée, dans ce chalet, semble être entre gens un peu libertins, lorsque par l’échancrure de son peignoir, je vois que cette jeune Élodie, à elle aussi un simple voile sur le corps.
Tout est confirmé lorsqu’un homme vient à nous revêtu d’un simple boxer.
• Monsieur, madame, je m’appelle ...