Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane - La cochonne (4)
Datte: 21/08/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Egrewam, Source: Hds
Le lendemain matin, debout le premier, je suis en train de préparer le petit-déjeuner, lorsque Mathilde fait son apparition dans la cuisine. Elle porte juste une culotte qui lui cache à peine le sexe et qui rentre entre ses fesses, par derrière.
Elle se penche vers le frigo. Le spectacle qu’elle m'offre par derrière est pour le moins bandant : entre les fesses généreuses, je peux voir pénétrer la partie arrière de la culotte chiffonnée, réduite à l’état de cordon.
Elle sent mes yeux sur son derrière, elle se penche de plus en plus sur le frigo, et, tout en feignant de réfléchir à ce qu’elle va prendre, elle écarte impudiquement les fesses. Par moment, elle se penche tellement, que je peux entrevoir, de chaque côté du mince cordon de nylon blanc, les bords de l’auréole brune de son anus cerné de poils sombres. Cette grosse cochonne est obscène - et elle le sait !
Elle se relève et avec un regard sur l'érection qui gonfle mon slip, elle se glisse derrière ma chaise, prend ma main, la conduit entre ses jambes et serre les cuisses. Sa chatte est brûlante, sa culotte un chiffon trempé. Elle se penche à mon oreille :- Bonjour mon cochon… Hier... C'était fort… On recommencera... Sens, je suis déjà si mouillée que j‘ai presque fait dans ma culotte...
Tout en parlant elle frotte ses cuisses l‘une contre l‘autre. Elle se masturbe contre ma main emprisonnée contre sa motte. Elle se penche sur mon épaule, saisit ma queue bandée dans mon slip et commence à me branler en me ...
... chuintant à l'oreille :- Rien que d‘imaginer tout ce qu'on va faire, je vais pisser dans ma culotte…Au moment où je suis sur le point de me jeter sur elle, Mathilde cesse brusquement la branlette.
- Montons… J'ai envie...
Elle remonte, balançant ses grosses fesses et ses seins dans l’escalier. Je bande comme un âne, je la suis des yeux jusqu’à ce qu’elle aie disparu et monte à mon tour.
Lorsque j'entre dans sa chambre, je la trouve vautrée dans un fauteuil, cuisses écartées, jambes reposant sur les accoudoirs, passant ses doigts sur le côté de sa culotte, si trempée que sa cyprine coule entre ses fesses. Elle a le trou du cul tout mouillé !
Je sors ma queue et mes couilles, fait glisser mon slip. À poil, je me jette sur elle. Elle s'attend à être giflée de la raideur de ma bite tendue avant de la lui enfoncer dans la bouche, mais mon impatience se porte sur sa culotte, guenille saturée de la mouille poisseuse et odorante de son con.
Devant la difficulté à lui rapprocher les jambes pour la lui enlever, je tire brutalement. Elle se déchire, je lui en éponge la chatte et la raie, en insistant sur son cul, comme pour en assécher les poils qui le garnissent. Je la hume, je bave, je crache dessus.
Elle me regarde me la mettre dans ma bouche, mes joues se creusent, j'en aspire les sucs. Elle me voit déglutir, elle se sent un peu frustrée, elle aurait aimé que je recrache sur elle le jus que j'ai extrait, ce mélange de sa mouille et de ma salive.
Elle n’en peut plus ...