Les malheurs de Clotilde Ch. 18
Datte: 21/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... entrer-et-sortir de mon corps. Brutalement, sadiquement. J'ai l'impression qu'il me sépare en deux... qu'il déchire mon ventre... qu'il m'arrache les poumons... Je hurle de douleur, puis le supplie :
- Pitié... arrête... pitié... maître...
Tout le reste de ma dignité est brutalement arraché, alors, que tandis que cette nouvelle explosion de souffrance absolue traverse mon corps, je l'appelle « maître ». Mais Greg ne semble pas entendre, tout à son horrible ouvrage. Il retire presque entièrement son sexe de mon corps, puis, une fois de plus, il pousse ses hanches vers l'avant, tout en me tirant vers son entrejambe. M'empalant encore plus loin sur sa terrible et monstrueuse queue. Mes hurlements d'agonie résonnent à travers la chambre, semblant encore plus exciter, mon violeur et les spectateurs.
Je suis incapable de me concentrer sur la moindre pensée pour fuir cet ignoble viol. Seule cette douleur terrible, brûlante, blanche, absolue occupe mon cerveau. Je pensais avoir vécu le pire avec mon premier séjour avec eux... avec les chiens... je me rend compte, pour mon plus grand malheur, que le pire réserve bien des surprises, mais surtout qu'il est sans fin...
Tout mon corps, le monde entier, tout ce que je ressens se rétrécit, pour que seule mon sexe et la douleur qu'il ressent, n'existe. Il n'y a plus rien d'autres que mon vagin, brûlé et déchiré en même temps par cet ignoble pénis. Je peux voir et entendre, mais cela, en ce moment, ne signifie plus rien. C'est ...
... seulement moi et la douleur.
J'en arrive à espérer, à le supplier de jouir en moi. Je quémande pour qu'il envoi sa semence dans mon corps. Tandis qu'il arrive à me faire plus mal, me faire hurler plus fort, tandis qu'il augmente le rythme de son viol en me prenant plus fort et plus vite :
- Oui! Souffre putain!
Je veux seulement que cet enfer prenne fin, hélas, cela semble devoir durer éternellement. Ce monstre à toujours la même endurance quand il s'agit de me violer à mort.
- Souffre!
En disant cela, il enfonce sa deuxième main dans mon sein encore libre. Plantant ses ongles dedans. J'ai l'impression que des charbons ardents sont pressé contre la peau tendre de ma poitrine.
Je hurle encore plus fort, la douleur supplémentaire me prenant par surprise. Jamais je n'aurais cru, compte tenu de la souffrance infernale que je ressens déjà, que je remarquerais même une autre source de douleur. Mais je me suis trompée. La douleur semble plus profonde que ma peau, comme si mon âme elle-même, souffre et crie de tourment. J'ai tellement mal, que j'ai l'impression que je vais perdre la tête si il continue... que je vais devenir une folle juste bonne à interner.
Pour l'avoir vécu maintes fois, je sais que son éjaculat en moi ne provoquera que douleur et sera dégradante pour moi. Mais je ne peux, entre deux hurlements, m'empêcher, sans plus aucune dignité, de continuer à le lui quémander. Je prie pour qu'il jouisse, tant l'agonie flamboyante irradiant de ma chatte ...