1. Le pouvoir de l'imperceptible (Histoire vraie)


    Datte: 21/08/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Senteurs, Source: Hds

    ... commence à lâcher de gros pets dont on devine à l'odeur qu'ils sont issus d'un de ces repas chargés. Comme une sorte de préliminaire, je la regarde faire un strip-tease de loin. La voilà maintenant, qu'elle péte le cul à l'air. Toujours dans son coin, elle fait durcir ma bite encore plus quand je feins parfois d'ignorer son existence. Comme si, passer à côté de quelque chose d'aussi énorme m'excitait encore plus. C'est un peu bizarre… en même temps, ma vision qui inclue un fétichisme très particulier balaye la notion de bizarrerie et on en est plus à ce stade. Les bruits provenant du vase illégitime de la quarantenaire résonnent dans la pièce. Ça ne s'arrête pas. Mes oreilles se sont délectés au moins une vingtaine de fois en une dizaine de minutes et mon nez ne peut être aussi bien traité que cela.
    
    J'aime l'idée d'être un peu loin d'elle pour d'autres raisons. Comme si je n'avais pas la permission d'aller la toucher. C'est en même temps pour elle l'occasion de se livrer aux pires cochonneries car j'imagine facilement qu'elle ne doit pas avoir l'habitude de telles pratiques. Paradoxalement, l'idée qu'elle ait pu se lâcher devant moi me fait penser que ce doit être une grosse cochonne. Encore pire que les cochonnes occidentales. Mon jugement est un peu trop approximatif… Quoi qu'il en soit, je continue de vivre ce moment magique avec elle. Je la regarde et je lui demande de péter dans sa main puis de la sentir. Elle s'exécute et est un peu rebutée au début mais je suppose ...
    ... que même si on n'est pas une fétichiste, on aime un peu les flatulences qui sortent de son propre cul. Elle renifle sa main et me regarde avant d'ôter ce qui l'habille cette fois. Il ne reste que le voile. Un rien l'habille !
    
    Le voile qui couvrait ses longs et sublimes cheveux est maintenant par terre et moi je suis si content de la voir toute nue. Toute grasse. Toute grâce.
    
    La gironde arabe a rendu l'oxygène de cette pièce irrespirable. Elle a émis tellement de mauvaises odeurs que la pièce est au bord de l'explosion. Elle sent pourtant un autre gaz qui arrive. Heureux à l'idée de l'entendre et de le sentir, je me contente de l'observer de loin et de jouer à un je- …
    
    — Monsieur ! Monsieur ! Entendis-je soudainement.
    
    Comme pour m'extirper de mes pensées, la femme se décide enfin et eut la bonne idée d'acheter plusieurs jouets. Je reviens vite à la réalité et je vois la cliente partir juste après m'avoir souhaité une bonne fin de soirée. Je fantasme encore sur le cadeau nauséabond qu'elle m'a offert. Mais quelques secondes plus tard, une autre réalité allait changer les choses car Louis me dit :
    
    — Oh purée, j'ai lâché un de ces caissons !
    
    Mais … mais … ne savait-il donc pas qu'on dit « Lâcher une caisse » ?! Pardon , je veux dire : Aaahhhhhhhh !! C'était lui ! Je n'ai même pas l'envie de savoir comment son horrible …
    
    Je ne pense plus à rien.
    
    Je me contente de garder en tête le fantasme d'une femme mure qui péte devant moi tout en sachant que ce n'était ...
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