Karine et le plaisir de la soumission 3
Datte: 20/08/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Dan48, Source: Hds
... sol et me dit d’arrêter de gesticuler comme cela, qu’il a failli me lâcher.
Je lui confis alors que j’ai eu peur des voyeurs à cause de mes cris pendant l’amour. Sa réponse me rassure autant qu’elle me terrifie : « ils étaient une dizaine mais ils n’ont pas trouvé l’entrée, et il y en a un qui a dit :- « je ne sais pas ce qu’il lui fait mais elle est plutôt chaude cette salope, une vraie chienne. S’ils savaient que tu es encore pucelle ils en tomberaient sur le cul » Je ne sais pas comment prendre sa phrase. C’est à la fois humiliant et gentil.
- « Merci de ne pas m’avoir pris le sexe, je t’aurai laissé me dépuceler tu sais, mais je préfère comme ça. C’était très bon, j’ai adoré. On recommence quand tu veux. »- « Je ne pensais pas que tu me sucerais, je l’espérais mais ne pensais pas que tu le ferais »- « Et oui comme le mec l’a dit je suis une salope plutôt chaude. » Je plastronne- « En plus t’as avalé tout mon sperme. Pour une première, tu ne fais pas les choses à moitié. »- « Tu ne m’as pas vraiment laissé le choix, tu sais ! Tu étais tellement enfoncé dans ma bouche que tu as probablement giclé directement au fond de ma gorge. Je n’ai eu que 2 giclées dans ma bouche. Je n’ai réussi à fermer ma bouche que quand tu as sorti ta bite. J’ai senti sur ma langue et mes dents le gout de ton sperme. Je ne savais pas quoi faire, dans les films porno les filles avalent, alors j’ai avalé. Je m’y suis mis à plusieurs fois, j’en avais sur la langue sur le palais. J’ai encore le ...
... gout dans ma bouche. »- « Tu aimes ? »- « Si je dis oui tu vas me demander de recommencer et si je dis non tu vas croire que je suis coincée. Alors oui, j’aime. De tout façon, avec les cris de plaisir que j’ai poussés, je ne peux pas dire que je n’ai pas aimé. Je ne pensais pas qu’on pouvait avoir autant de plaisir… Bon… j’ai faim maintenant. »On se met à manger notre pique-nique. Je sens le sperme pendant tout le repas : je n’ai pas pensé à essuyer la giclée que j’avais reçue sur le visage, et j’avais volontairement laissé celle sur mes seins. Hugo regarde les traces sur moi, mais n’ose rien dire. A la fin du repas, on s’allonge dans l’herbe après avoir rangé les restes du repas : au programme petite sieste et bronzage. On se regarde dans les yeux sans rien dire, main dans la main, repensant à ce que nous avions fait sans vraiment le préméditer. Au bout d’un moment de rêverie sexuelle inavouée, je me redresse, et je me rallonge dans l’autre sens. Ma bouche va directement chercher la verge molle de mon Hugo.
- « Qu’est-ce que tu fais petite cochonne ? »- « Hum Hum … »- « Je ne comprends pas. »Après avoir ressorti le sexe raidi de ma bouche, je répondis :- « Je m’ennuie, laisse-moi m’occuper comme je peux, et sache que je ne parle pas la bouche pleine, c’est pas poli ! »Je me suis lancé dans une fellation intense en essayant de me rappeler les techniques que j’avais vue dans les quelques films porno que j’avais regardés en secret. Hugo se met à gémir doucement. Je continue à ...