souvenir de vacances
Datte: 20/08/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Renifleur, Source: Hds
... larmes, puis fais glisser ma langue sur sa fente.
Je bande très dur, alors qu’elle pousse déjà des soupirs, en avançant son ventre contre ma bouche.
-C’est bon ce que tu me fais !
-J’espère !
-Mais c’est sale !
-Pense plutôt au bien que cela te procure !
Et je continue mon travail, léchant sa petite chatte avec application. Je passe ma langue partout où il faut. Avec la certitude de la mener au plaisir. Je veux que ce moment soit gravé dans son cerveau. A entendre ses gémissements, cela lui plaît bien.
Pour lui en donner un peu plus, je la bascule sur la botte. Je scrute son anus. Quelques poils sombres tire-bouchonnent l’entrée. J’applique ma langue dessus. Le goût est des plus âcres, semblables à un fort camembert.
-Que c’est bon ! Lâche-t-elle.
Je reviens régulièrement vers son sexe. J’avale le goût de son cul et celui de sa chatte. Je suis heureux du goût que j’ai dans la bouche, mais tout de même fier de l’entendre gémir, défaillir sous mes coups de langue.
-Encore Alain ! C’est trop bon !
Je ne sais pas ce qui me retient de l’enculer. Mais je me résonne tant bien que mal, et me contente de la lécher encore, encore et encore. Mais aussi, de l’enculer avec ma langue. Elle halète, pousse des râles en tordant sa croupe.
-Alain… oui encore… ce que c’est bon…on ne m’a jamais fait ça jusqu’alors !
Son anus s’élargit, s’assouplit, ma langue s’enfonce de mieux en mieux, plus profonde aussi. Ses râles se prolongent, deviennent plus ...
... rauques. Ma queue dans mon short n’a rien à envier à un morceau de bois. Ma langue rencontre quelque chose de solide au fond de son trou, tout de suite un goût amer envahit ma bouche. En se laissant aller à son plaisir, la cousine se lâche.
Elle pète, ça pue ! Son odeur me saoule. Très vite je ressens une violente envie. Une envie insoutenable. Je me redresse ma queue à l’entrée de son anus dilaté. Sans trop forcer, mon gland passe l’obstacle de son anneau devenu souple. D’un coup de reins, le restant rentre comme dans du beurre mou. Gilda proteste faiblement, mais sa croupe la trahit en remuant comme une bête.
Je pose ses mollets en appui sur mes épaules. Je coulisse finement, d’avant en arrière, ma queue dans son boisseau accueillant. Faisant rebondir mon ventre contre ses fesses. Sa tong droite s’échappe de son pied. J’en profite pour attraper son pied nu et de le porter jusqu’à mes narines. L’odeur est envoutante. Je guide les orteils entre mes lèvres, et me mets à les suçoter.
Mes couilles se balancent entre ses cuisses, frappent sa chatte en bout de course. Et tout cela pour le plus grand plaisir de ma cousine, ravie de tant d’initiative de ma part.
Elle crie, se débat, se secoue, mais je reste fermement ancré en elle. Et cela, jusqu’à ne tenant plus, je laisse ma queue lâcher son plaisir.
Jamais je n’ai vu ma cousine aussi euphorique après cet épisode. Me suppliant sans cesse, une suite à donner à notre premier épisode.
Même si j’ai passé un bon moment en ...