1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1649)


    Datte: 18/08/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    juliensoumis au Château - (suite de l’épisode précédent N°1648) –
    
    - Seul le Grand Maître décidera si cette putain vaut le coup d’être éduquer ou pas, à nos plaisirs…
    
    Pierre invita donc les hommes présents à m’utiliser à leur guise. Des mains parcouraient mes fesses, mon dos, mon sexe, mes cuisses… des doigts s’insinuaient dans mon sillon anal et s’introduisaient dans ma bouche. Je voulais à la fois me débattre, ne pas me laisser faire, mais paradoxalement une petite voix intérieure, celle de mon âme soumise trop longtemps enfouie m’intimait de laisser exprimer ma véritable nature servile et donc de me laisser faire… Et puis ma propre érection trahissait mon excitation et encourageait mon accord à me laisser m’utiliser… Une queue en pleine érection s’appuya alors sur mes lèvres :
    
    - Ouvre ta bouche, salope ! Suce-moi la bite !
    
    Et cette grosse verge déjà érigée s’introduisit dans ma bouche, sans plus attendre. Son propriétaire ne devait pas être très propre car elle avait un goût acre de transpiration et de mouille mélangées. Ses mains me tenaient la tête et il me prenait la bouche sans ménagement, comme on investit une chatte en chaleur. Une bouche s’écrasa sur mes fesses fouillant mon anus de sa langue. Elle remontait et descendait rapidement comme pour lubrifier ma rosette. Une deuxième grosse queue rejoignit celle que je suçais. Elles entraient et sortaient alternativement dans ma bouche ou les glands se frottaient contre mes joues, étalant leur mouille sur mon ...
    ... visage. Mon sexe dur comme du bois fut happé par une bouche chaude et humide. L’homme qui me suçait aspirait très fort et mon sexe se trouva dans un écrin d’humidité chaude d’une cavité buccale fort accueillante. Mes couilles étaient palpées, tiraillées, caressées ou pincées. Tout, comme mes tétons d’ailleurs, subissaient les outrages de quelques doigts fébriles ou de bouches baveuses. De la vaseline fut appliquée sur mon anus, déjà dilaté par des doigts inquisiteurs en profondeur.
    
    - Ah ! Ma salope, à voir comme tu bandes, tu aimes ça, tu ne peux pas le nier ! …
    
    En effet je ne pouvais pas le nier, pas le cacher que cette situation d’abord imposée m’excitait et donc que j’en éprouvais un malin plaisir. Pierre avait deviné ce que j’avais vraiment besoin, juste parce que je lui avais raconté mes fantasmes de soumission, mon souhait de vivre un jour une expérience de soumission … Il avait tout simplement concrétisé mon rêve si intime … Et mon érection si parlante répondait positivement à tout cela. L’homme poursuivait :
    
    - … Oui tu aimes ça, la chienne, alors je vais t’enculer ! Je vais te faire jouir du cul, petite pute !
    
    Le gland violacé d’un vit dur et gonflé s’appuya sur mon petit trou et s’enfonça jusqu’à la garde, d’un coup de reins puissant, pénétrant, profond et sans réserve. S’en suivit une sodomie qui était menée à un train d’enfer. Il s’agitait en moi comme un forcené, monopolisant, investissant mon fondement avec énergie et virilité. Une énorme bite dans le ...
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