1. Ado


    Datte: 16/08/2024, Catégories: Première fois Auteur: Jpj, Source: Hds

    Mon vrai nom c’est Dominique.
    
    Mais tous ils m’appellent Ado. Va savoir pourquoi…Ça me vient de quand j’étais jeune … enfin petite.
    
    Je suis grande maintenant mais je suis tout même encore jeune. Avec des hanches, une taille, des seins tout ronds de grande. Mon ventre est, depuis peu, mais il l’est, couvert de poils. Un fin duvet bien sûr mais déjà à même de camoufler cette étonnante excroissance de dindon qui est sortie indécente de mon joli abricot de gamine.
    
    Un si joli abricot, pulpeux, rond, lisse. Bien net.
    
    Que je regrette. Enfin disons dont je regrette la fraîcheur, la juvénile simplicité.
    
    Et maintenant ces multiples plis compliqués qui sortent de moi trempés de salive de fille comme d’une autre bouche d’entre les cuisses. Salive fluide glissante … accueillante.
    
    En fait, je me nomme Dominique.
    
    Et dans Dominique, n’entend-on pas clairement le son nique ?
    
    Moi, je suis fille simple et vu que je suis encore jeune fille, je ne pense pas encore aux garçons. Enfin, pas trop…Cette affaire de ne plus être jeune fille nous turlupine toutes. Les filles de mon âge, je veux dire. Celles qui sont mes copines au lycée.
    
    Et dans copine, n’entend-on pas clairement le son pine ?
    
    Bon, tout cela n’explique pas que l’on me nomme Ado lieu de me dire Dominique. Comme mon nom l’indique.
    
    Moi, en vrai, je ne pense qu’à ça.
    
    Je ne ...
    ... suis pas du tout Ado mais bien plutôt Dominique-nique-nique.
    
    Ça m’a pris brusquement et maintenant ça me tient fort le ventre. Et la bouche d’entre mes cuisses mouille à outrance nappant de bave et de coule mes chairs tendres.
    
    Je suis bien ainsi tout du jour, j’aime. Et j’attends avec impatience ceux qui ont vocation à peser lourdement sur mon ventre, à forcer mes cuisses serrées, à m’emplir profondément de bite épaisse et à gicler fort au fond de mon cœur le foutre chaud et fécondant.
    
    Je me sens femelle dans mon corps bien plus que dans ma tête.
    
    Ma tête néanmoins turbine, elle aussi.
    
    En fait je me sens femelle de partout.
    
    Et c’est bon ainsi. C’est bien ainsi que je suis moi.
    
    Le jour de délivrance se fait attendre. Délivrance du statut de gamine de pucelle.
    
    Vu qu’il se fait attendre, je l’attends. Sans impatience mais avec farouche détermination. Vivre, totalement, ce jour-là, cette époque-là.
    
    Jour d’un jour de mes seize ans, époque en suivant de quelques mois quelques années de tendresses multiples avec partenaires divers. De tout venant.
    
    Toucher le dur des garçons dans les pantalons et partager.
    
    Le dur des garçons, c’est si bon…
    
    De ce temps n’est resté pour moi que la perte du nom d’Ado que l’on m’avait donné avant. Avant.
    
    Et du poids très lourd des mâles sur mon ventre.
    
    Jambes largement écartées. 
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