L'Appât Du Gain (Partie 01)
Datte: 15/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bydicordoba, Source: Literotica
... se posa sur sa cuisse et que lentement elle glissa sous sa robe.
Il caressa quelques secondes son pubis et d'une voix satisfaite il lui dit.
- Je vois que tu es entièrement épilée, c'est un bon point pour toi
- Heu... Merci...
Elle se mordit la lèvre inférieure lorsque les doigts vinrent glisser entre ses lèvres vaginales, la surprenant tout en l'excitant étrangement. Il s'attarda un peu, la faisant gémir légèrement sans pour autant attirer l'attention des passagers installés sur les banquettes les plus proches.
Lorsqu'il retira sa main d'entre les cuisses ouvertes, ce fut pour la faire glisser dans le décolleté de la robe afin de vérifier qu'elle ne portait plus de soutien-gorge. S'emparant d'un des seins, qu'il trouva ferme et doux, il lui dit dans l'oreille qu'il était satisfait de son comportement.
- On descend dans une petite heure à la gare d'Arleson. On laissera ta valise dans le train, tu n'en auras pas besoin.
- Mais! Ce sont toutes mes affaires...
- Tu la récupéreras aux objets trouvés de la gare de Marseille et avec 200 000 euros, tu pourras t'acheter d'autres vêtements si tu ne la retrouves pas.
Clarisse n'avait pas envie de laisser son bagage dans le train mais elle réalisa qu'elle ne pouvait pas non plus désobéir à l'homme. Après tout, lorsqu'elle rejoindra son amie à Marseille dans 48 heures, elle récupèrera en même temps sa valise.
C'est alors qu'elle pensa à Léa qui allait l'attendre à la gare. Elle devait la prévenir mais ...
... ignorait comment.
- Mon amie m'attend à Marseille, je ne peux pas la laisser sans nouvelles.
- Envoie-lui un message comme quoi tu as eu un imprévu et que tu dois repousser ton voyage de deux jours.
- Elle va me poser des questions
- Si c'est le cas tu parleras d'un décès, ça fait toujours son effet.
Tout en lui parlant, l'homme n'avait pas relâché le sein qu'il massait en toute impunité. Un voyageur d'une quarantaine d'années qui traversait le wagon, s'arrêta net en voyant le vieux tripoter cette jeune femme qui ne disait absolument rien. Se ressaisissant, il reprit son chemin, abasourdi par ce qu'il venait de voir.
Lorsque enfin, Noël se décida à retirer sa main du décolleté, Clarisse se détendit un peu. Elle ignorait ce qu'il allait faire d'elle et commençait à avoir peur. Et si elle avait fait une connerie en acceptant sa proposition.
Jusqu'à la gare de destination, elle resta sans bouger alors qu'il venait de temps en temps lui caresser la cuisse. Elle ignorait où ils allaient se rendre une fois qu'ils seraient à Arleson et cela l'inquiétait.
Malgré son âge et son air sympathique, n'était-elle pas tombée sur un serial-killer qui allait s'occuper d'elle dans un endroit tranquille.
Elle se traita d'idiote en pensant à l'argent déjà versé sur son compte. Un tueur n'aurait jamais laissé des indices aussi gros sachant que la police pouvait remonter jusqu'à lui.
Du coup elle se sentit bien mieux et se dit que quarante-huit heures passeraient sûrement ...