Mon masochisme (2)
Datte: 17/07/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: EloiseF, Source: Xstory
... la laisse. Il pose aussi des bracelets de cuirs mes chevilles et poignets, épais et larges et aussi munis d’anneaux. Le chien me regarde avec attention. Je me sens brûlante de désir. Dans un miroir au-dessus de sa cheminée, je vois en serre-taille, bas, le collier autour du cou, tenue en laisse et j’adore. Je me sens chienne. Je pense aux images vidéo que j’ai regardées pendant la nuit. Je suis comme elles, offerte, désirante, et désirable.
— Tu connais le concept de safeword ?
— Oui Monsieur.
— Rouge sera notre safeword, compris ?
— Oui Monsieur.
Il ouvre à nouveau un tiroir et pose sur la table basse devant moi un épais martinet, une cravache, des pinces en acier reliées par une chaîne, deux paires. Il s’empare de la cravache, caresse mon corps avec le bout puis donne un coup vif sur mon téton droit. Je me plie un peu.
— Tu ne bouges pas chienne.
— Pardon Monsieur.
Il recommence à caresser mes seins puis un nouveau coup frappe mon téton. Alors, dans un élan spontané, je m’entends dire :
— Merci Monsieur.
— Tu aimes petite chienne ?
— Oui Monsieur.
— Encore ?
— Encore Monsieur.
Le plat du bout de la cravache s’abat cinq fois sur chaque téton, coups rapides, vifs qui me lancent une décharge électrique dans les seins. Je gémis comme une petite chienne. Il pose une pince sur mon téton droit, la chaîne pendante, puis une autre sur le téton gauche. Les pinces aux extrémités des chaînes sont à hauteur de mes grandes lèvres et ils les ...
... fixent là. J’aime cette morsure sur mes seins, ma vulve, l’acier sur ma peau. J’aime tout, je suis à deux doigts de jouir, déjà...
Il prend la laisse d’une main et m’entraîne jusqu’à la cheminée. Je suis face au miroir.
— Pose tes mains écartées sur la cheminée, écarte largement des cuisses et cambre-toi.
Je suis offerte, cambrée. Il doit voir ma vulve humide, mon anus entrouvert ainsi. Je me cambre au maximum pour lui offrir mes trous ; je voudrais tellement qu’il me prenne là, debout. Mais il se place derrière moi, sa main enserre les deux chaînes qui vont de mes tétons à mon sexe et tirent dessus. L’autre caresse mon sexe, titille mon clitoris, le pince. Je jouis d’un coup. La traction sur ma vulve et mes seins, le jeu de ses doigts sur mon clitoris me font littéralement exploser. J’attends cela depuis hier soir. Je pousse un cri de plaisir animal, profond.
— Tu as été autorisée à jouir chienne ?
— Quoi ?
— Ton plaisir dépend de ma volonté. Tu jouis avec mon autorisation.
— Pardon Monsieur.
— Cambre-toi. Tu vas recevoir le fouet, 25 coups. Tu me remercieras après chaque coup.
— Bien Monsieur.
Il s’empare du martinet noir, en cuir. Il me le donne à embrasser, caresse mon dos, mes fesses avec les lanières. Puis il recule un peu, frappe mon dos une première fois. Le coup est violent, il n’y a aucune retenue. Je compte 1, remercie. Le deuxième arrive. Le jeu se poursuit, mais la douleur devient là aussi plaisir. Le dixième coup vient sur ma vulve, le ...