Le balcon de Valentine - Histoires de Sexe

Le balcon de Valentine

... ridicule.
— Pas du tout ! Vous ne l’êtes pas, Juliette.

Ma main ouvre la serviette restée par terre et s’empare du gode qu’elle cachait. Ce bon Ludovic regarde ce que je tiens, et son souffle est subitement plus court.

— Ce que vous me préparez… Je n’ai jamais vu une femme l’accepter.

Je ne peux retenir un sourire, qui cadre mal avec mon excitation.

— Les voyages forment peut-être la jeunesse, mais ne servent pas à grand-chose d’autre.
— Salope !

Monsieur A ne m’insulte pas, et dans sa bouche, ce mot est une moquerie qu’il emploie avec humour et gentillesse. Je me recule et me laisse basculer vers l’arrière, relevant mes jambes vers mon ventre et les écartant en grand écart. Je remarque aussitôt que la main de mon voisin accélère ses caresses.

— Cochon !

Sean Connery mime une moue offusquée, sans cesser de se masturber. J’enfonce le gode d’un seul mouvement en regardant mon voisin dans les yeux.

— Ooh ! Oh que c’est bon… Ooh… si vous saviez ce que c’est bon d’être prise par les deux orifices… Par moments, je ne sais plus de quelle façon j’éprouve le plus de plaisir… Oh que c’est bon… M’mm, salope… ! Ooh…

Il me manque quelque chose et je découvre vite ce dont il s’agit.

— J’ai encore envie des pinces.

J’ai été très tentée de demander à Monsieur A de les mettre en place lui-même. Je sais que si prochaine fois il y a, je le lui demanderai. Cet homme, vieillard ou pas, me fait craquer, comme peu d’hommes pourraient me faire craquer. Pieds en ...

... l’air, exhibée au mieux, je me gode lentement le sexe, tandis que mon autre main joue avec le manche du pilon qui me sodomise. Je fais bouger la sphère et c’est très agréable.

— Vous voyez dans quel état vous me mettez…
— Vous êtes une salope adorable.
— Et vous… Vous bandez comme un cochon… Vous m’avez raconté des histoires… Pour me faire pitié, et me faire accepter des choses horribles.

Tout sourire, Monsieur A se lève et se débarrasse de son short. Je me gode lentement, savourant la morsure des pinces sur mes tétons, la belle queue dans mon ventre, et le poids du pilon dans mon anus.

— Je vais être honnête. Je n’ai pas bandé aussi dur et aussi longtemps depuis des années.
— Cochon !
— Oh que oui ! Je peux toujours vous diriger ?
— Oh que oui… !
— Alors, retirez votre gode, et jouez avec le pilon seul. Sodomisez-vous avec, et n’hésitez pas à le sortir pour mieux le rentrer. Vous jouissez de la seule sodomie ?

Les mots de mon voisin m’ont aussitôt fait rougir, et brusquement, j’ai du mal à respirer. Cette petite rafale d’ordres m’a presque fait jouir… Et ce que je vais dire ne va pas éteindre l’incendie déclenché par Ludovic.

— Parfois, oui… je jouis sous la seule sodomie, et parfois, non… Mais là, avec vous…

J’ai ressorti la boule, la laissant sur mon anus le temps pour Monsieur A de bien voir ce que je fais. Quand elle s’enfonce à nouveau, je me laisse aller à gémir.

— C’est sûr… Je vais jouir… Et si c’est vrai que je vous excite à ce point…
— ...