1. Les aisselles odorantes de Madame Pinot


    Datte: 13/08/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Senteurs, Source: Hds

    ... la fin du mois de mars. C'est un style peu formel quoi très décent, à mi-chemin entre le pyjama et les manteaux des années soixante. Le manteau de couleur noir et blanc découvre tout de même les jambes. Celles de Madame Pinot sont recouvertes de jolis collants d'un noir très léger. La jupe éventail qui dépasse du long manteau est assez discrète car elle ne fait que la liaison entre le reste des jambes, le manteau et des chaussures ; tout aussi discrètes. Celles-ci sont noires et ont de petits talons.
    
    Je trouve un plaisir à contempler les vêtements d'une telle dame pour les lui ôter après. Un par un. Sans oublier de les renifler bien sûr. De me soumettre et de vénérer ces mauvaises odeurs. Non, Ses mauvaises odeurs ! Ce qui est horrible chez elle est beau pour moi. Ce qui est beau chez elle est… un texte est si faible pour le décrire et de toute façon, ce plaisir imaginaire a assez duré. Nous nous empressons, le cinquantenaire et moi, de partir. On ira chez elle. Heureusement, c'est à moins de 5 minutes de marche.
    
    Arrivés à la maison, nous nous tenons dans le petit couloir et nous nous regardons avec un mélange de tendresse et d'excitation. Je commence par embrasser la jolie dame ronde en caressant en même temps ses joues. Cette peau du visage, qui s'est un peu relâché au fil des années, confère à Madame une magnificence que seul l'amour des femmes âgées peut décrypter. Elle reste si douce cependant.
    
    Le parfum qu'elle a mis se fait plus discret désormais, du ...
    ... coup j'en profite pour aller sentir son coup et ses cheveux qu'elle n'a pas lavés depuis un peu plus de trois jours. D'ailleurs, dès que je me retire, elle prend mon visage et le replonge dans ses cheveux sales pour forcer l'esclave que je suis à les sentir. Ces gestes un peu brutaux et surtout inhabituels chez cette femme provoquent en mois une excitation sans pareil. J'ai de nouveau la tête dans ses cheveux. Cela sent un peu l'odeur du grain de peau sous les cheveux et, bien-entendu, celle du cuir chevelu mais avec une légère couche de gras. Ce n'est pas très sale mais ce n'est pas très propre non plus. C'est le meilleur moyen que j'ai trouvé pour décrire l'odeur et l'était des cheveux !
    
    Pour l'heure, je continue d'embrasser la femme au corps de rêve. Mon rêve. Mais cela ne dure pas longtemps. Je renifle de nouveau le coup et je sens un peu de sueur. Je descends un peu plus bas et au commencement du sillon intermammaire, mon nez se met à communiquer de l'envie à mon corps. Le message des sens va vers mon cerveau et la première impulsion est évidemment provoquée par l'odeur. Juste au moment où je tire un peu sur le petit tricot de peau de Madame Pinot qui porte encore son manteau, celle-ci me dit :
    
    — Enlève mes vêtements, petit chien.
    
    Tellement de plaisir m'envahit tout à coup :
    
    — Volontiers, ma déesse.
    
    Je suis sur le point de vénérer la mauvaise odeur des aisselles de la vieille Madame Pinot. Rien que l'écriture de cette phrase me fait bander. Le vivre est ...
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