1. De l'autre côté du mur


    Datte: 13/08/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: MG8895, Source: Hds

    ... veuille, le masseur titillait ma noix, provoquant des ondes de plaisir, il allait et venait, comme si, il me faisait l’amour. J’avais l’impression d’être doigté délicieusement. L’ergonomie du masseur est adaptée pour jouer avec précision et masser au bon endroit.
    
    Après trente minutes, mon premier orgasme se produit, je râle, je pince mes tétons pour accentuer la jouissance. Ca dure vingt à trente secondes puis la tension redescend. J’ouvre les yeux, je tourne légèrement la tête, je vois Cécile, yeux mis clos, tête renversée, chemisier ouvert sur ses seins dénudés, sa main gauche sur l’un d’entre eux et l’autre dans son bas de survêtement, entrain de se palucher l’abricot.
    
    - Mets-toi à l’aise, fous toi à poil et branle toi, lui lançai-je, d’une voix étouffée par l’orgasme qui arrivait. J’étais dans état second, comme semi endormi.
    
    Elle était rouge pivoine, elle arracha son chemiser, se débarrassa de son bas et de sa petite culotte pour entreprendre sa chatte et se branler. Elle se travaillait la vulve, de façon magistrale. Mes orgasmes qui se succédaient, la vue de mon cul pomper, celle de ma bite semi érigée entrain de baver son précum, la rendaient folle.
    
    Elle voulait jouir aussi. Elle mettait enfin des images sur les sons qu’elle percevait à travers notre mur mitoyen. Elle se doigtait fortement, elle s’enfonçait deux doigts, le majeur et l’annulaire, dans son vagin bien humide, des clapotis de mouille résonnaient, elle coulait abondamment. Elle se tordait ...
    ... d’envie. Elle soufflait, grimaçait de plaisir. Son visage grimaçait, elle souffrait de plaisir. Elle se cramponnait à l’accoudoir du fauteuil et se triturait le sexe vigoureusement. Elle n’hésitait pas à se masser l’anus, se mordant la lèvre inférieur.
    
    Cette scène m’excitait au plus haut point, j’orgasmais, je bandais très fortement, j’avais tellement envie de la baiser. Elle expulsait, de façon saccadé, des petits « han » de bûcheron, pendant que je criais des « arhhhhhhhh », « ouuuuufffff » « Ooooooh ouiiiiiiiiiiiii », « ooooooorrrhhhhhhpuuuuutainnnnnn », le masseur compressait ma prostate, faisant sortir le liquide pré-séminal, c’était divin comme sensation. Mes muscles se bandaient, mes jambes vibrait, mon bassin se soulevait, ma tête dodelinait. Des images fusaient dans ma tête : je suçais, je léchais, je broutais virtuellement le sexe de Cécile et son cul. J’avais envie que l’on me prenne, qu’on me sodomise, qu’on me suce la queue. J’aurais aimé, dans ces moments de délires et d’extase, sucer une ou des bites, des couilles, des culs de mecs imaginaires, ce qui décuplait ma jouissance et mes orgasmes. C’est fou ce que petit objet peut provoquer comme sensations et de fantasmes.
    
    Je ne rêve plus, Cécile s’est approché de ma couchette, elle était entrain de me sucer les tétons tout en me masturbant. Mais une masturbation particulière. En effet, elle prenait son majeur et me massait le frein du prépuce, comme un clitoris. Elle prenait le précum pour le lubrifier et elle ...