1. Femmes seules... mais pas esseulées (2/5)


    Datte: 11/08/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... mate, type espagnol, Marjorie était le prototype de la jeune femme moderne, dynamique et libérée. Elle assumait sans complexe un physique que les puristes pouvaient juger un peu trop "fessu" et velu mais dont elle savait l'attrait chez certains hommes peu portés vers les corps de mannequin, osseux et épilés. De ce corps charnu fait pour l'amour, elle usait généreusement depuis que son mariage, prématuré, avait définitivement capoté. Sans être nymphomane, elle laissait rarement passer une occasion de s'envoyer en l'air, généralement avec des types très sexués comme elle, avec une prédilection pour les joueurs de rugby. Marjorie appartenait à la catégorie recherchée des "femmes qui baisent", portées sur la bite mais rétives au mariage ou ce qui s'en approchait.
    
    A la suite de son divorce prononcé après de longues tergiversations, elle avait décidé de changer de logement avec sa fille dont elle avait le plus souvent la garde. Elle venait d'emménager dans son nouvel appartement et organisait ce samedi soir sa pendaison de crémaillère en présence de ses nombreux copains et copines, du moins ceux qui avaient été sélectionnés pour ne pas trop encombrer le lieu relativement exigu. On sait ce qui se passe dans ce genre de réunion : il y a toujours quelqu'un non invité qui s'immisce parce que copain d'un copain attiré par la perspective d'une fête sympa. C'est ainsi que Marjorie découvrit un type coiffé d'un catogan, arborant une boucle d'oreille et des bras nus tatoués, venu avec ...
    ... son casque de motard et qui fut présenté comme Kevin, policier à la brigade des stups.
    
    Que se passa-t-il alors dans la tête de ces deux là ? Une espèce de déflagration imprévisible partie du cerveau et arrivant au sexe. Lorsqu'elle fit la bise à son non invité, Marjorie rosit, rougit, sentit une onde de chaleur dans son bas-ventre, déglutit difficilement, éprouva un urgent besoin de boire et écouta à peine ce que lui disaient ses copains et ses copines. Elle dévorait des yeux le motard tatoué et celui-ci la mettait à poil du regard, signifiant ainsi qu'il partageait son trouble. Plus la soirée s'avançait, plus les rires succédaient aux plaisanteries et les verres aux verres et moins Marjorie et le dénommé Kevin se quittaient des yeux.
    
    Ce coup de foudre érotique ne pouvait avoir qu'une issue : le lit. L'un et l'autre en étaient à un stade où la suite ne peut être que la jonction de leur sexe. La fusion des corps, le mélange des hormones. Marjorie n'était pas de ces femmes qui minaudent tergiversent et atermoient devant une cible mâle. Elle avait une furieuse envie de baiser, comme un besoin naturel, et le plus tôt serait le mieux. Elle était chez elle et l'initiative lui revenait. Profitant d'une petite confusion festive, elle prit le motard par la main, le conduisit dans sa chambre, ferma celle-ci à clé et l'embrassa avec une frénésie qui alla directement au slip, déjà bouleversé, de l'intéressé, en rut comme un cerf sans le brame.
    
    La suite releva du sexe sauvage en ...
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